Maxi: des clients pourraient être admissibles à l’IVAC
Agence Qmi
2016-04-13 10:56:00
« Une victime, ce n’est pas juste la personne qui subi l’acte criminel, a-t-il indiqué. S’il y a des personnes qui ont vu l’acte, qui ont vu la jeune femme blessée, qui ont entendu des cris ou encore qui ont croisé le tueur au moment de l’événement, eux aussi peuvent être des victimes.»
Des clients pourraient avoir subi un choc post-traumatique, croit l’avocat, lorsque Clémence Beaulieu-Patry a été poignardée au cou au beau milieu du rayon des vêtements alors qu’elle complétait son quart de travail.
« Plus on attend, plus ça se chronicise et plus les séquelles à long terme sont importantes, a-t-il dit. C’est après les événements qu’on doit s’en occuper. Les victimes ont besoin de ventiler et de parler parce qu’elles subissent souvent un stress immense. »
Pour ce qui est des employés du supermarché appartenant au groupe Provigo, c’est la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) qui se chargera d’eux.
Provigo n’a pas souhaité accorder d’entrevue sur le sujet. Johanne Héroux, directrice principale des affaires corporatives et des communications, a toutefois indiqué que les employés et leurs familles allaient recevoir de l’aide et du soutien s’ils le désiraient.
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il y a 8 ansJe n'en peux plus...