Campus
Eté studieux à l'UQAM
Julie Klironomos
2010-05-17 10:15:00
Me voici au Salon G de l’UQÀM, assise dans un coin du café, latté en main, prête à écrire ma chronique pour Droit-inc. De quoi pourrais-je vous parler ? De mes vacances, avant cela, il me reste quelques petites choses à faire pour ma faculté...
Ma session s'est terminée officiellement le 6 mai à minuit, après l'envoi d'un ultime travail.
Les vacances arrivent !
Enfin presque car un programme de droit à 98 crédits et âgée de 25 ans = cours d’été !
Je dois profiter des cours de droit offerts pendant les congés pour compléter le tout, plutôt plus tôt que plus tard.
Remarquez que prendre des cours d’été n’est pas la pire des
choses : il fait beau dehors, les terrasses sont ouvertes, l’atmosphère est légère.
Rien de mieux que d’étudier et profiter de l’été en même temps.
J'ose le dire. J’ai toujours aimé prendre des cours durant les sessions d’été, même lors de mes quatre années à Concordia.
De belles températures et un peu humour aident certainement à apaiser le stress de deux cours en période estivale. Du moins, je l'espère !
Toutefois, il faut être prêt à travailler à vitesse rapide, car les cours sont donnés en entier, comme ils le seraient durant une session régulière. Presque rien n’est échappé. On décrit la session d’été comme étant intensive. Cela n'a rien d'exagéré.
Chaque cours de trois heures est donné de façon bi-hebdomadaire et non hebdomadaire, comme le reste de l'année.
Le temps de travail et de préparation que cela implique, entre lectures et études, en est alors multiplié, et oblige à une bonne dose de persévérance.
Mais bon, la trêve estivale, qui précède la session d'automne, dure quatre mois.
Alors après les cours, il est encore possible de postuler pour un emploi saisonnier ou de s'attarder enfin sur tous les projets personnels mis de côté durant l’année.
Je choisis personnellement la seconde branche de l'alternative car je m'arrête à apprendre l’espagnol dans les prochains mois. Je vous en donnerai des nouvelles!
Sur ce, je vous souhaite tous et toutes un bel été. Profitez-en!
Profil étudiant
Julie Klironomos est étudiante en deuxième année de droit à l'UQAM. Julie fait partie de ces étudiantes hyperactives, qui dès qu'elles le peuvent mettent leur nom sur des listes ! Elle qui était déjà administratrice pour la clinique juridique de l'UQAM et volontaire aux journées carrières de sa faculté, est maintenant chroniqueuse pour Droit-inc. A coté du droit, cette étudiante trilingue, français-anglais-grec, a obtenu un baccalauréat en psychologie avec distinction à Concordia. Cette bonne compréhension des rapports entre les personnes devrait l'aider à se tracer un joli chemin en cabinet d'avocats.
Les vacances arrivent !
Enfin presque car un programme de droit à 98 crédits et âgée de 25 ans = cours d’été !
Je dois profiter des cours de droit offerts pendant les congés pour compléter le tout, plutôt plus tôt que plus tard.
Remarquez que prendre des cours d’été n’est pas la pire des
choses : il fait beau dehors, les terrasses sont ouvertes, l’atmosphère est légère.
Rien de mieux que d’étudier et profiter de l’été en même temps.
J'ose le dire. J’ai toujours aimé prendre des cours durant les sessions d’été, même lors de mes quatre années à Concordia.
De belles températures et un peu humour aident certainement à apaiser le stress de deux cours en période estivale. Du moins, je l'espère !
Toutefois, il faut être prêt à travailler à vitesse rapide, car les cours sont donnés en entier, comme ils le seraient durant une session régulière. Presque rien n’est échappé. On décrit la session d’été comme étant intensive. Cela n'a rien d'exagéré.
Chaque cours de trois heures est donné de façon bi-hebdomadaire et non hebdomadaire, comme le reste de l'année.
Le temps de travail et de préparation que cela implique, entre lectures et études, en est alors multiplié, et oblige à une bonne dose de persévérance.
Mais bon, la trêve estivale, qui précède la session d'automne, dure quatre mois.
Alors après les cours, il est encore possible de postuler pour un emploi saisonnier ou de s'attarder enfin sur tous les projets personnels mis de côté durant l’année.
Je choisis personnellement la seconde branche de l'alternative car je m'arrête à apprendre l’espagnol dans les prochains mois. Je vous en donnerai des nouvelles!
Sur ce, je vous souhaite tous et toutes un bel été. Profitez-en!
Profil étudiant
Julie Klironomos est étudiante en deuxième année de droit à l'UQAM. Julie fait partie de ces étudiantes hyperactives, qui dès qu'elles le peuvent mettent leur nom sur des listes ! Elle qui était déjà administratrice pour la clinique juridique de l'UQAM et volontaire aux journées carrières de sa faculté, est maintenant chroniqueuse pour Droit-inc. A coté du droit, cette étudiante trilingue, français-anglais-grec, a obtenu un baccalauréat en psychologie avec distinction à Concordia. Cette bonne compréhension des rapports entre les personnes devrait l'aider à se tracer un joli chemin en cabinet d'avocats.
11605
lex
il y a 14 ansLa description de la jeune fille est beaucoup trop drôle... Est-ce que c'est elle qui l'a rédigée?
Anonyme
il y a 14 ansÇa ne boit que du latté et ça s'oppose à l'augmentation de frais de scolarité en invoquant les difficultés financières.
86088
il y a 14 ansIl faudrait trouver un sujet intéressant avant d'écrire un texte svp!
Me
il y a 14 ans>>>>> Toutefois, il faut être prêt à travailler à vitesse rapide,
Une vitesse ne peut être rapide, tout comme une température ne peut être chaude ni froide et une taille ne peut être grande. Une vitesse est soit basse, soit élevée.
Student
il y a 14 ansLes personnes qui ont des choses négatives à dire sont des personnes qui ne sont pas bien dans leur peau. Point final.
Me
il y a 14 ansIntéressant...
Tu retiens ça du secondaire, du cégep, du LL.B., de l'École du Barreau ou d'un post-doc en psychiatrie clinique?
Me
il y a 14 ansPrenons un tout autre exemple, soit le Code de déonto. Ça dit: Il ne doit pas prononcer des paroles ou publier des écrits contraires aux lois, ni inciter quiconque à y porter atteinte, mais il peut, pour des raisons et par des moyens légitimes, critiquer toute disposition de la loi, en contester l'application ou requérir qu'elle soit abrogée ou modifiée.
Donc, ceux qui ont des choses négatives à dire au sujet d'un projet de loi ne sont pas bien dans leur peau...
Factum
il y a 14 ans"Mais bon, la trêve estivale, qui précède la cession d'automne, dure quatre mois."
On écrit Session, non pas Cession!
Veuillez aussi revoir l'ensemble de votre ponctuation.