Le droit de la famille et rien d’autre!
Mathieu Galarneau
2019-08-29 08:30:00
« J'ai un côté très humain, j'ai toujours aimé écouter les gens. Depuis que je suis jeune, mes amis sont toujours venus vers moi quand ils étaient dans une situation vulnérable. J'essaie toujours de faire comprendre aux gens qu'on peut toujours tirer du positif même dans les pires situations. »
Gatinoise d’origine, c’est une enseignante du Cégep de l’Outaouais également avocate en droit de la famille qui l’a convaincue de suivre cette voie. Elle a déménagé dans la métropole pour y faire son baccalauréat en droit à l’Université de Montréal. Elle a traversé son parcours en flèche sans s’arrêter pour atteindre son but.
C’est un peu le hasard qui l’a amenée chez Guzun et Associés pour y faire son stage. « J'ai vu leur annonce alors que j'étais dans ma dernière semaine avant l'examen final du Barreau et je trouvais l'offre super intéressante. J'ai vraiment un coup de coeur avec l'équipe. Ce sont des personnes vraies, avec de l'écoute, des valeurs qui me ressemblent. »
Le droit de la famille est reconnu pour ne pas être très payant et chargé d’émotions. Qu’est-ce qui motive une jeune avocate de se lancer dans une telle branche de pratique? Il faut avoir le positif qu’on amène chez les clients, raconte Me Archambault.
« Il faut leur expliquer qu'au final, les choses vont se régler. Notre travail, c'est que des gens sortent avec un espoir qu'ils n'avaient pas nécessairement en entrant. »
La jeune juriste se sent davantage à l’aise de débuter sa pratique dans un petit cabinet, où elle connaît tous ses collègues et règne un esprit de famille. « Même si on est un petit cabinet, on travaille tous sous pression! On prend quand même le temps de s'asseoir et de parler ensemble. On trouve des moyens de travailler efficacement ensemble. »
On lui souhaite de conserver le feu sacré du droit encore longtemps!