Nouveau! Les chroniques Carrière
Elle quitte le droit pour faire des p’tits gâteaux!
Rene Lewandowski
2007-09-18 13:30:00
Le magazine L’actualité publie dans son édition du 1er octobre un dossier fort intéressant sur ces gens qui rêvent de changer de carrière dans un domaine tout à fait différent de leur ancien boulot.
On y relate entre autres l’histoire d’une ingénieure devenue spécialiste en marketing, d’une directrice de boutique recyclée en ébéniste, et, surtout, d’une avocate ayant quitté le droit pour se lancer en affaires.
On y relate entre autres l’histoire d’une ingénieure devenue spécialiste en marketing, d’une directrice de boutique recyclée en ébéniste, et, surtout, d’une avocate ayant quitté le droit pour se lancer en affaires.
Tout juste avant noël, Véronique Collard, 33 ans, a en effet tiré un trait sur sa carrière d’avocate pour créer, avec une associée, Itsi Bitsi, « paradis des cupcakes — petits gâteaux format muffin —, de la crème glacée maison et des objets-cadeaux, dont des assiettes, des tasses, des coussins », écrit le journaliste Daniel Chrétien.
« J’ai toujours eu la passion de cuisiner », déclare à Droit-inc.com, cette mère de trois enfants pour expliquer cette réorientation de carrière.
Mais elle ajoute aussi que sa décision fait suite à une remise en question de sa carrière en droit. « Peut-être n’ai-je pas choisi les bons domaine de pratique », se demande celle qui se spécialisait en litiges civil et commercial ainsi qu’en droit familial.
Chose certaine, elle ne regrette en rien sa décision. « C’est le bonheur! »
D’autant plus qu’après seulement quelques mois d’activité, le commerce est déjà rentable.
Cela dit, elle continue de payer sa cotisation au Barreau. Car on ne sait jamais ce que l’avenir nous réserve…
« J’ai toujours eu la passion de cuisiner », déclare à Droit-inc.com, cette mère de trois enfants pour expliquer cette réorientation de carrière.
Mais elle ajoute aussi que sa décision fait suite à une remise en question de sa carrière en droit. « Peut-être n’ai-je pas choisi les bons domaine de pratique », se demande celle qui se spécialisait en litiges civil et commercial ainsi qu’en droit familial.
Chose certaine, elle ne regrette en rien sa décision. « C’est le bonheur! »
D’autant plus qu’après seulement quelques mois d’activité, le commerce est déjà rentable.
Cela dit, elle continue de payer sa cotisation au Barreau. Car on ne sait jamais ce que l’avenir nous réserve…
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