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Un slogan en justice, et un escroc démasqué… par son pacemaker!
L'équipe Droit-Inc
2017-02-17 11:10:00
Un slogan en anglais assigné en justice, la lecture de livres pour lutter contre le racisme et un mensonge décelé grâce à un pacemaker… Voici les affaires insolites.
Le slogan des JO de Paris 2024 assigné en justice!
« Made for Sharing » semblait plus sexy que « Venez partager ». Mais ce n’est pas l’avis de tous.
Un collectif d’associations de défense de la langue française, dont l'Union nationale des écrivains de France, a décidé de déposer une assignation devant le tribunal administratif pour le retrait du slogan.
Le collectif estime qu’il s’agit d’une « insulte grave à la langue française » et une « violation de la Constitution ».
L'Académie française a aussi exprimé à l'unanimité « sa réprobation devant la décision du comité d'accorder la priorité à la langue anglaise pour porter la candidature olympique de la ville de Paris. Ce slogan a déjà été utilisé lors de campagnes publicitaires. »
Amateurs de croix gammés condamnés… à se cultiver
Jugés pour avoir taggé leur école de croix gammées et de commentaires sexistes, deux adolescents de Virginie ont été condamnés... à se cultiver.
Alex Rueda, la procureure, a en effet décidé de les obliger à lire 35 livres et rédiger une dissertation sur l’impact des croix gammées et des symboles suprématistes sur les différentes communautés.
Ils devront aussi visionner 14 films et visiter deux musées avec leurs parents.
Parmi les ouvrages imposés, « La Couleur des sentiments », « Exodus » ou encore « Le Soleil se lève ».
Les deux jeunes n’avaient pas d’antécédents judiciaires. La procureure a estimé qu’ils étaient simplement des « idiots » et qu’ils n’étaient pas motivés par le racisme.
Un escroc trahi par son pacemaker
Un homme originaire de l’Ohio a été accusé d’incendie criminel et de fraude après que son pacemaker n’a pas soutenu son histoire.
Son appareil cardiaque avait été saisi dans le cadre de son jugement. L’exploitation des données stockées a révélé le mensonge: le quinquagénaire n’avait pas fui le brasier comme il l’affirmait. Son rythme cardiaque ne suggérait aucun stress compatible avec une émotion forte ou un effort physique. Les relevés du stimulateur électronique suggéraient plutôt qu’il avait tranquillement fait sa valise, avant de mettre le feu à sa villa.
« Made for Sharing » semblait plus sexy que « Venez partager ». Mais ce n’est pas l’avis de tous.
Un collectif d’associations de défense de la langue française, dont l'Union nationale des écrivains de France, a décidé de déposer une assignation devant le tribunal administratif pour le retrait du slogan.
Le collectif estime qu’il s’agit d’une « insulte grave à la langue française » et une « violation de la Constitution ».
L'Académie française a aussi exprimé à l'unanimité « sa réprobation devant la décision du comité d'accorder la priorité à la langue anglaise pour porter la candidature olympique de la ville de Paris. Ce slogan a déjà été utilisé lors de campagnes publicitaires. »
Amateurs de croix gammés condamnés… à se cultiver
Jugés pour avoir taggé leur école de croix gammées et de commentaires sexistes, deux adolescents de Virginie ont été condamnés... à se cultiver.
Alex Rueda, la procureure, a en effet décidé de les obliger à lire 35 livres et rédiger une dissertation sur l’impact des croix gammées et des symboles suprématistes sur les différentes communautés.
Ils devront aussi visionner 14 films et visiter deux musées avec leurs parents.
Parmi les ouvrages imposés, « La Couleur des sentiments », « Exodus » ou encore « Le Soleil se lève ».
Les deux jeunes n’avaient pas d’antécédents judiciaires. La procureure a estimé qu’ils étaient simplement des « idiots » et qu’ils n’étaient pas motivés par le racisme.
Un escroc trahi par son pacemaker
Un homme originaire de l’Ohio a été accusé d’incendie criminel et de fraude après que son pacemaker n’a pas soutenu son histoire.
Son appareil cardiaque avait été saisi dans le cadre de son jugement. L’exploitation des données stockées a révélé le mensonge: le quinquagénaire n’avait pas fui le brasier comme il l’affirmait. Son rythme cardiaque ne suggérait aucun stress compatible avec une émotion forte ou un effort physique. Les relevés du stimulateur électronique suggéraient plutôt qu’il avait tranquillement fait sa valise, avant de mettre le feu à sa villa.
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