Carrière et Formation
Parlez-vous appels d'offres ?
Natacha Mignon
2010-07-19 10:15:00
Les appels d’offres sont devenus le terrain de chamaillerie préféré entre la STM, CAF et Bombardier-Alstom. Et vous, êtes vous familier de ces procédures ? Si ce n’est pas le cas, sachez qu’il existe des formations.
Ainsi, la société Edilex propose un cycle de trois pans de formations dédié aux appels d’offres, dont le but est de familiariser les participants avec les règles applicables à la matière et également leur apprendre à rédiger les documents de la procédure.
Si vous lisez droit-inc régulièrement, Edilex ne vous est pas inconnue, puisque j’ai récemment dédié un reportage à cette compagnie bâtie sur la foi d’un homme, Gilles Thibault (en photo), pour lequel la profession d’avocats ne pouvait fonctionner sans « business plan ». Lui avait donc entrepris au fil des ans de structurer l’information juridique et établi des modèles d’actes et de contrats.
Edilex ayant une forte expertise en droit contractuel, Gilles Thibault a été consulté par des institutions publiques au moment de la réforme du droit des appels d’offres en 2008.
« On nous a demandé d'étendre aux appels d'offres ce qu'Edilex était parvenue à modéliser en matière contractuelle, dit-il. C'est très logique car le domaine des appels d'offres est éminemment contractuel, et a peut-être plus que tout autre a besoin d’être structuré. »
Fort de cette nouvelle compétence, Edilex a mis sur place une formation qui tient en trois demies journées.
La première vise à analyser le cadre législatif des appels d’offres au Québec issue de la réforme du 1er octobre 2008, la deuxième est consacrée à l’analyse contractuelle des documents d'appels d’offres et la troisième à la négociation et à la rédaction des actes.
« Le monde des appels d’offres est un univers où les juristes côtoient les opérationnels de l’entreprise, dit Me Thibault. La notice technique est d’ailleurs souvent le document le plus dense de la procédure. Nos formations reflètent cette réalité. Elles comptent des juristes des organisations publiques, des chefs d’approvisionnement, des avocats de grands cabinets ou des chefs de contentieux, autant que des soumissionnaires. Tout ce monde se rencontre et apprend à savoir ce que l’autre attend de lui et surtout à savoir se faire comprendre de l’autre. »
Si vous lisez droit-inc régulièrement, Edilex ne vous est pas inconnue, puisque j’ai récemment dédié un reportage à cette compagnie bâtie sur la foi d’un homme, Gilles Thibault (en photo), pour lequel la profession d’avocats ne pouvait fonctionner sans « business plan ». Lui avait donc entrepris au fil des ans de structurer l’information juridique et établi des modèles d’actes et de contrats.
Edilex ayant une forte expertise en droit contractuel, Gilles Thibault a été consulté par des institutions publiques au moment de la réforme du droit des appels d’offres en 2008.
« On nous a demandé d'étendre aux appels d'offres ce qu'Edilex était parvenue à modéliser en matière contractuelle, dit-il. C'est très logique car le domaine des appels d'offres est éminemment contractuel, et a peut-être plus que tout autre a besoin d’être structuré. »
Fort de cette nouvelle compétence, Edilex a mis sur place une formation qui tient en trois demies journées.
La première vise à analyser le cadre législatif des appels d’offres au Québec issue de la réforme du 1er octobre 2008, la deuxième est consacrée à l’analyse contractuelle des documents d'appels d’offres et la troisième à la négociation et à la rédaction des actes.
« Le monde des appels d’offres est un univers où les juristes côtoient les opérationnels de l’entreprise, dit Me Thibault. La notice technique est d’ailleurs souvent le document le plus dense de la procédure. Nos formations reflètent cette réalité. Elles comptent des juristes des organisations publiques, des chefs d’approvisionnement, des avocats de grands cabinets ou des chefs de contentieux, autant que des soumissionnaires. Tout ce monde se rencontre et apprend à savoir ce que l’autre attend de lui et surtout à savoir se faire comprendre de l’autre. »
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Me
il y a 14 ansVoici la composition du CA de la STM, avec indications sur la formation académique chacun. Res ipsa loquitur.
Michel Labrecque, aucune formation supérieure connue
Jocelyn Ann Campbell, traductrice de formation
Marvin Rotrand, diplômé en enseignement et histoire
Bernard Blanchet, aucune formation supérieure connue
John Meaney, aucune formation supérieure connue
Monica Ricourt, diplômée en sciences politiques
Dominic Perri, bachelier en sciences et maîtrise, prof au secondaire pendant 28 ans
Anonyme
il y a 14 ans"...autant que des soumissionnaires. Tout ce monde se rencontre et apprend à savoir ce que l’autre attend de lui et surtout à savoir se faire comprendre de l’autre. "
J'espère que c'est une blague... sinon, bonne chance avec le Bureau de la concurrence!
GBS
il y a 14 ans>J'espère que c'est une blague... sinon, bonne chance avec le Bureau de la concurrence!
Je ne vous suis pas. Accepteriez vous de pallier à mon ignorance en m'expliquant votre commentaire?
Anonyme
il y a 14 ansCe genre de rencontres donne souvent lieu à des rencontre entre les soumissionnaires pour truquer les offres, ce qui est biensûr contraire aux dispositions de la Loi sur la concurrence. Le commentaire de Me Thibault reflète malheureusement cette réalité très mal comprise dans le milieu... et ce... au détriment des payeurs de taxes
> >J'espère que c'est une blague... sinon, bonne chance avec le Bureau de la concurrence!
>
> Je ne vous suis pas. Accepteriez vous de pallier à mon ignorance en m'expliquant votre commentaire?