Une nouvelle associée chez Langlois
Sonia Semere
2022-12-06 08:30:00
Me Dominique A. Jobin a décidé de se joindre au cabinet à titre d’associée. Elle intégrera le groupe de litige du bureau de Québec.
Une arrivée qui réjouit particulièrement Me Jean-François Gagnon, chef de la direction de Langlois Avocats : « Elle sera une ressource précieuse pour nos juristes de la relève, qui auront accès à une avocate aguerrie possédant une vaste expérience. Je suis très fier qu’elle ait choisi notre cabinet pour poursuivre sa pratique et je lui souhaite la bienvenue au nom de tous les Langlois ».
Me Dominique A. Jobin exerçait au ministère de la Justice du Québec en tant qu’avocate à la Direction du droit constitutionnel et autochtone. Elle a conseillé pendant plus de trente ans les autorités gouvernementales sur la conformité de projets de lois et de règlements ainsi que de l’action gouvernementale avec les garanties constitutionnelles et quasi constitutionnelles applicables.
« Après une riche carrière au sein du gouvernement, faire partie de l’équipe de Langlois me permet d’élargir davantage mes horizons. En effet, je suis heureuse de découvrir de nouvelles facettes à l’application des droits et libertés de la personne et du droit constitutionnel. Je me réjouis de joindre mes forces à celles de Langlois et de soutenir sa clientèle dans ces domaines en constante évolution », a confié l’avocate.
La pratique de Me Dominique A. Jobin est axée sur les conseils et les litiges en matière constitutionnelle dans divers contextes d’ordre pénal, civil, administratif ou disciplinaire, particulièrement en ce qui a trait à la Charte canadienne de droits et libertés et à la Charte des droits et libertés de la personne (Charte québécoise).
Elle agit notamment dans le domaine des relations de travail, de la protection des renseignements personnels, des droits et politiques linguistiques, dans le cadre d’enquêtes administratives ou pénales ainsi que dans les secteurs des services publics, notamment ceux de la santé et de l’éducation.
Elle conseille autant des organismes publics que des sociétés privées dans les cas où leurs actions mettent en cause les droits et libertés de la personne.