Votre cabinet est-il populaire ?
Céline Gobert
2012-02-07 14:15:00
Des algorithmes calculent les « tweets » et « re-tweets », les « j’aime » et autres activités liés à votre cabinet, et vous donne une note de 1 à 100.
A 10, vous existez. A 20, vous êtes dans la moyenne. A plus de 50, vous trônez sur le haut du podium.
Pour les cabinets, la toile regorgent d’opportunités d’étendre leur visibilité et, donc, de faire des affaires. Ne l’oubliez pas : les centaines de milliers d’internautes que brassent les médias sociaux sont autant de potentiels clients.
Propagation de la pensée.
Scores
Au top : Stewart McKelvey, premier cabinet d'avocats du Canada atlantique, ainsi que Norton Rose, Miller Thomson et Osler Hoskin & Harcourt. Dans le monde virtuel, la taille ne compte pas. L’accumulation aveugle de tweets non plus.
Gowlings a beau posséder le plus grand nombre d’abonnés Twitter et LinkedIn, il n’atteint pas le peloton de tête. A l’inverse, Stewart McKelvey et Miller Thomson ont peu d’abonnés et beaucoup d’influence...
Leur force est ailleurs : ils influencent ceux qui sont actifs sur les réseaux sociaux. Et deviennent quelque part « des leaders d’opinions ». Par exemple, le cabinet américain Skadden Arps, obtient un score de 33, avec 86 tweets, 1657 abonnés Twitter et 3929 sur LinkedIn.
Et, avec son blog, Stuart Rudner, avocat chez Miller Thomson, avec un score de 48 en influence 655 autres, qui en influencent d’autres, etc.