Plongée au cœur d’un cabinet spécialisé en droit du travail

Un cabinet n’a pas à être très grand ni très médiatisé pour servir une large clientèle. C’est ce que prouve depuis 26 ans DHC Avocats, qui compte une douzaine d’avocats spécialisés en droit du travail pour les employeurs et les hauts cadres évoluant dans tous les secteurs (domaine privé, public, parapublic et communautaire).

Avec pour porte-étendards des avocats séniors comme Mes Pierre G. Hébert, Paul Dupéré et Paul A. Venne, ce cabinet à taille humaine a réussi à se forger une excellente réputation grâce à sa philosophie et à la diversité de ses services :

« Nous sommes en quelque sorte un one stop shop qui couvre tous les besoins en droit du travail, à tous les moments de la vie d’une entreprise, au provincial comme au fédéral, explique Me Jean-François Martin, associé du cabinet. Nous nous positionnons moins comme des mandataires, que comme des partenaires stratégiques pour nos clients, avec des relations à long terme que nous cultivons. Certains d’entre eux nous confient d’ailleurs leur volet légal depuis plus de 20 ans. »

L’accompagnement, de A à Z

La confiance est au cœur de l’ADN de ce cabinet, mais aussi la rigueur et l’excellence.

« Nous avons des spécialités nichées qui ont fait jurisprudence», confirme Me Martin. Par exemple, depuis 1996, l’approche de DHC Avocats dans la cause opposant Disc Améric et le Syndicat canadien des communications, de l'énergie et du papier guide encore les employeurs quant à l’étendue de leur droit de parole dans le contexte d’une démarche d’accréditation syndicale.

D’autres forces de DHC Avocats se concentrent dans le traitement de dossiers de consommation de drogues et d’alcool en milieu de travail, de harcèlement psychologique ou sexuel, de licenciement et de non-concurrence.

Il reste que dans toutes les sphères du droit du travail, quelles qu’elles soient, les employeurs se trouvent toujours à cheval entre les législations, qui déterminent leurs obligations, et les Chartes des droits et libertés, qui définissent les principes de la vie privée de leurs employés.

« C’est très délicat à gérer, indique l’avocat. Par exemple, que doit faire un patron si une de ses employés arrive régulièrement au travail avec des bleus ou un œil au beurre noir ? Cette situation relève à priori de la vie privée, mais l’impact qu’elle peut avoir sur la vie professionnelle de cette personne en termes de santé physique et mentale mérite un accompagnement adéquat que nous pouvons offrir. »

De la prévention au litige

Chaque employeur a des besoins différents en matière de droits du travail, mais en règle générale, il préférera éviter les conflits judiciaires. Une bonne partie des dossiers sur lesquels travaillent Me Martin et ses confrères ne se traduisent donc pas par des litiges en Cour.

Comme six de ses collègues, l’associé, également chargé de cours en droit du travail depuis 23 ans à HEC, mise beaucoup sur la prévention à travers l’implantation de politiques et des formations dans les entreprises.

Toutefois, lorsque la situation le nécessite, les avocats de DHC n’ont pas peut d’aller plaider en Cour.

« Nous nous adaptons toujours au niveau de confort de nos clients, en ne leur cachant pas que ces dossiers sont souvent synonymes de tension, d’incertitude et de patience, précise Me Martin. Nous leur donnons l’heure juste, c’est ce qu’ils apprécient aussi chez nous. »

Cette vision, mêlant expertise nichée, accompagnement personnalisé et agilité a jusqu’à aujourd’hui séduit beaucoup d’employeurs, tout comme des cabinets d’avocats qui viennent la solliciter pour des dossiers dont ils ont la charge, sans crainte que DHC Avocats ne devienne un concurrent potentiel.

Ah, et dernier petit plus de ce cabinet spécialisé à taille humaine : des honoraires abordables, puisque ce dernier n’est pas une grosse structure à faire tourner. De nombreux atouts intéressants, n’est-ce pas?