Une notaire d’expérience chez Alepin Gauthier

C’est le 2 novembre dernier que la notaire Me Suzanne Dionne a fait son entrée chez Alepin Gauthier après 32 ans à son compte dans la ville de Rosemère.

Sa pratique se concentre en droit notarial et procédures non contentieuses, telles l’homologation de mandat d'inaptitude, l’ouverture de régime de protection, ou la vérification de testament olographe ou devant témoins en Cour.

Me Dionne s’occupera entre autres de mandats en droit des successions, testaments, contrats de mariage, protection du patrimoine, reconnaissance de dettes et droit immobilier, qui est « la base » de tout notaire, indique cette passionnée qui a choisi le notariat à l’âge de 18 ans.

« Je suis conciliante, je crois qu’avec la communication on arrive à s’entendre. Je crois aux ententes à l’amiable, à l’impartialité du notaire. Et je ne voulais pas aller plaider devant un juge qui déciderait de tout ! », s’exclame-t-elle non sans humour pour expliquer sa vocation.

Échanger avec les juristes

Cela faisait longtemps que la notaire travaillait seule, et se questionnait.

« Je voulais échanger avec d’autres juristes. J’aime travailler avec les avocats », explique Me Dionne en entrevue avec Droit-inc. C’est alors que la fondatrice Me Brigitte Gauthier l’a contactée…

Diplômée de l’Université de Montréal en 1982 et en droit notarial en 1983, Me Dionne est séduite par l’offre qui lui est faite et décide d’intégrer ce cabinet avec lequel elle avait déjà travaillé puisqu’il lui envoyait des clients.

Une valeur ajoutée

C’est en outre « la très bonne réputation » du cabinet ainsi que ses deux fondateurs, Mes Alepin et Gauthier, qui ont fini de la séduire. Des professionnels « intègres, polis, à l’écoute de leurs employés. »

Qui plus est, le bureau emploie des gens de tout âge ce qui favorise « un échange de connaissances entre jeunes et moins jeunes » qui plaît à la notaire d’expérience.

« Cela fait trois semaines que je suis là mais je peux déjà honnêtement vous dire que j’ai ce que je voulais : travailler en collégialité avec d’autres juristes, ce qui constitue une valeur ajoutée pour nos clients ! », conclut avec enthousiasme l’ancienne chargée de cours à l'UQAM en successions, donations et patrimoine familial.