Un contrat «judiciarisé» pour amoureux
Stéphane Tremblay
2023-04-07 14:15:00
En effet, dans quelques stories mises en ligne par Élisabeth, on peut y lire que ledit contrat a été proposé le 25 janvier dernier et que sa durée est indéterminée.
Dans le document, il y a des obligations de la part de l’avocat, qui semble porter le surnom de Bine. Il est notamment stipulé qu’il s'engage à fournir à la demande expresse de l’Amoureuse, un repas au restaurant incluant de la nourriture et de la boisson illimitée; une sortie au cinéma pour deux personnes, le film étant à l'entière discrétion de l’Amoureuse, une journée de sexe où la Bine est à l’entière utilisation physique et psychologique de l’Amoureuse jusqu’à 23h59; une journée au spa et une journée avec une activité de plein air, encore là au choix de l'Amoureuse. Le tout défrayé par le jeune avocat.
Le contrat contient plusieurs rubriques: Statut d’amoureuse et loyauté, dispositions diverses, résiliation…
Par exemple, au point 5, Non-dénigrement, la Bine s’engage à ne pas adopter un comportement impliquant l’élaboration ou la publication de déclarations ou de remarques écrites, ou à en faire oralement, qui sont défavorables, nuisibles ou préjudiciables à l’intégrité, à la réputation ou au bien-être de l’Amoureuse (y compris, mais sans s’y intenter, faire des allégations, des déclarations ou des comportements négatifs).
Ou encore, la rubrique suivante sur la Restitution des biens. Il est écrit: En cas de résiliation du présent contrat, les Amoureux doivent, dans les 15 jours, remettre à l’autre tous les biens matériels en leur possession ou en la possession de leurs mandataires.
Or, le contrat de trois pages a suscité de nombreuses réactions sur les réseaux, tantôt en faveur de l’avocat, tantôt en faveur de l’influenceuse.
Chose certaine, Élisabeth Rioux est une femme d'affaires et créatrice de contenu. Une personnalité influente sur les réseaux sociaux, née en 1996. Elle dénombre plus de 2 millions de followers sur Instagram.
Celle qui est principalement connue pour avoir fondé sa propre entreprise de mode, « Hoaka Swimwear », a commencé sa carrière sur les réseaux sociaux en 2013, en créant son propre compte Instagram.
Rapidement, elle a gagné en popularité en publiant des photos de ses tenues souvent en maillot de bain et de son style de vie, attirant l'attention de milliers de followers.
Saviez-vous que le nom « Hoaka » est un mot hawaïen qui signifie « rebelle » ou « sans limites », ce qui reflète bien l'esprit de l'entreprise.
Le succès de « Hoaka Swimwear » a été fulgurant. Les maillots de bain de la marque sont maintenant vendus dans plusieurs pays et sont portés par des célébrités et des influenceurs du monde entier.
Au-delà de sa réussite dans le monde des affaires, Élisabeth Rioux est également admirée pour son attitude positive et sa confiance en elle. Elle encourage régulièrement ses followers à être eux-mêmes et à ne pas avoir peur de prendre des risques. Sa philosophie de vie est de « vivre sans limites » et de ne jamais abandonner ses rêves.
Cependant, malgré sa popularité, Rioux a également fait face à des critiques et des controverses. Certaines personnes ont accusé « Hoaka Swimwear » d'appropriation culturelle pour avoir utilisé des motifs hawaïens dans ses collections, tandis que d'autres ont critiqué Rioux pour son utilisation excessive de la retouche photo.
Nous avons tenté de joindre la jeune dame de 27 ans, mais en vain.
YB
il y a un anL'art de flamber son argent sur une pitoune qui te laissera dans quelques mois / années...
C'est pas la tienne, c'est juste ton tour !
Et c'est un avocat ? A-t-il assez de jugement pour représenter des gens ? C'est à se poser la question !
Anonyme
il y a un an"L'art de flamber son argent sur une pitoune qui te laissera dans quelques mois / années..."
ça c'est s'il est chanceux !
S'il l'est moins, elle le laissera également avec une facture de pension alimentaire pour enfant, et elle tentera d'obtnir une pension pour elle aussi.
Le "fin du fin" serait la possibilité qui sera peut-être offerte par le nouveau projet de loi sur la "famille": réussir à faire condamner son ex pour viol afin de ne plus avoir de pension à payer pour l'enfant qui en est issu: toutes les charges financières seraient alors sur les épaules du violeur:
https://www.lapresse.ca/actualites/2023-04-01/projet-de-loi-sur-les-enfants-issus-du-viol/le-principe-salue-mais-des-doutes-persistent-sur-son-application.php
Me
il y a un anVraiment, on se questionne sur le quotient intellectuel des "amoureux".
Honte à vous et honte à ceux qui s'affichent ainsi sur les réseaux sociaux. Faut-il à ce point avoir besoin d'attention pour en venir à autant de ridicule?