Le Super Stagiaire de Davies

Céline Gobert
2012-02-03 14:15:00
Au bout, un rêve : une entrée chez Davies l’hiver prochain.
Au contraire, ce globe trotter dans l’âme avait peur d’effrayer les recruteurs avec son background atypique: 34 pays différents en peu de temps, diverses aventures au Congo, en Éthiopie, en Australie, une expérience professionnelle avec Jimmy Carter, l’ancien Président des États-Unis…
In fine, ce fut sa force.
« Avoir fait beaucoup de choses avant d’appliquer peut être une grande force une fois les appréhensions des cabinets dépassées », explique-t-il, conseillant aux étudiants de rester eux-mêmes avant tout.

Selon lui, la course aux stages est un passage d’une importance capitale, car elle peut réserver d’excellentes surprises.
« Au départ, le cabinet Davies n’était pas au top de mon podium puis, petit à petit, un déclic s’est opéré. La manière dont ils agissaient avec moi était très différente de celle des autres cabinets », se souvient-il.
Coup de cœur
« Chez Davies, on pouvait prendre le café avec un associé et jaser pendant des heures, on m’a invité au restaurant, on s’est intéressé à qui j’étais comme personne, où j’avais voyagé, etc. »
Une approche, plus humaine, qui a fait la différence au moment du choix final.
« Davies a une approche très old school, avec poignée de mains. Ici on ne vante pas la grosse valeur du département corporatif, on se concentre davantage sur l’aspect humain », conclut-il.