Tomber en amour pour Stikeman

Céline Gobert
2012-02-07 10:15:00

Avant d’en arriver là, elle aussi est passée par la course aux stages, qu’elle juge très utile pour rencontrer des avocats.
« Ça m’a beaucoup aidée l’année dernière d’aller aux évènements. C’est la manière la plus efficace de savoir si on se sent capable de travailler avec ces gens-là. Avec Stikeman, je me suis sentie de suite très bien. En revanche, une amie qui m’accompagnait est partie, elle ne sentait pas qu’elle avait une place dans ce cabinet », explique-t-elle.
Tara est chanceuse, puisque sur 16 applications, et 6 premières entrevues, elle reçoit une seule offre : celle de Stikeman est numéro 1 sur sa liste…
« C’était le cabinet que je voulais, le ''fit'' parfait. Souvent d’ailleurs le clic se fait des deux côtés, j’ai été déçue par certains cabinets, et vice versa, tout simplement parce que nous avions des attentes différentes. »
Ainsi, conseille-t-elle aux étudiants de suivre leurs instincts. « Il faut qu’ils se fassent confiance, même si c’est beaucoup de stress. »
Chez Stikeman, en tant qu’étudiante, elle a l’option de choisir les secteurs, et travaille essentiellement en droit du travail. Ses horaires, flexibles, sont de 8h-9h à 17h-19h.
« J’ai également beaucoup de mémorandums à écrire, je fais le point sur des questions de recherche. Il s’agit aussi parfois de sortir un jugement pertinent ou d’essayer de voir si les jugements ont été contredits par ailleurs », détaille-t-elle.
Mais ce n’est pas tout. Au programme également : de nombreuses activités étudiantes, des lunchs de formation, et des ''conference calls'' qui permettent de se rapprocher du client.
« Pendant les premières années, le client c’est vraiment l’avocat. Mais peu à peu, les responsabilités augmentent », déclare Tara Mandjee, ravie.
Par ailleurs, « Stikeman est le seul cabinet qui garantit l’embauche », ajoute cette stagiaire qui compte bien poursuivre son bout de chemin avec Stikeman.