L’intelligence artificielle appliquée au domaine juridique
Diane Poupeau
2019-03-05 13:15:00
« Il y a eu beaucoup d'avancées dans le domaine en matière d'intelligence artificielle. Les algorithmes ont des bénéfices mais certains risques sont à considérer », a expliqué à Droit-Inc Me Mirka Snyder Caron, l'une des conférencières, avocate chez Les Placements L.L.C., par ailleurs associée à l'Institut d'Éthique en Intelligence Artificielle de Montréal.
Trois conférences seront proposées dans le cadre de ce colloque. Le professeur Karim Benyekhlef de l'Université de Montréal, abordera le thème de l’intelligence artificielle et la justice.
Mes Gabrielle Paris Gagnon et Camille Duguay, de chez Fasken, traiteront de l’intelligence artificielle et la responsabilité civile.
Une approche comparative
Quant à Me Snyder Caron, elle abordera le sujet de l’intelligence artificielle et les services financiers. Une question que maîtrise celle qui est l'auteure d'une thèse sur l'effet transformatif de l'intelligence artificielle sur les services bancaires.
Son intervention proposera une approche comparative entre différentes juridictions au Canada, aux États-Unis, en Corée du Sud, ou encore dans l'Union Européenne.
Les enjeux et les différentes utilisations des algorithmes en matière financière (modélisation des scores de crédits, risques sur les marchés…) seront également étudiés tout comme les questions liées à l'éthique ou encore à la confidentialité des données.
Le colloque se tiendra de 8 h 30 à 12 h, au Centre de conférence Le 1000, au 1000, rue de la Gauchetière Ouest.
Anonyme
il y a 5 ansAu lieu de pomper des subventions inutilement...
L'année dernière, tout ce beau monde n'en avaient que pour les "blockchain", en l'an 2000 leurs prédecesseurs bandaient sur les "web startups", et dans les années '70, ceux de la génération de leurs grand-parents, après avoir beaucoup fumé à Woodstock, ne voyaient l'avenir qu'à travers les fusées.
CFF
il y a 5 ansJe me demande toujours à quel point ces firmes qui tentent de "rayonner" à travers la communauté juridique par le biais de conférenciers doivent "milker" leurs clients afin de pouvoir se payer des avocats qui ne font rien de leurs journées. Et c'est sans parler de ces "chercheurs" en droit, dont le seul but semble de se poser des questions sur des sujets qui ne seront jamais abordés en salle de cour.
C'est d'un ridicule la tolérance envers ces juristes qui sont à ce point déconnectés de la réalité qu'on doute même qu'ils pourraient représenter des clients dans des litiges, mais qui préservent leur titre d'avocats.
Et le système d'éducation supérieur encourage ce genre de comportement, en leur attribuant des titres qui tendent à faire penser que leurs habiletés et capacités sont plus grandes que des avocats pratiquant dans le domaine concerné.
Anonyme
il y a 5 ansSavez-vous ce que font ses avocats de leur journée[sic]? Ou présumez-vous qu'ils ne travaillent pas puisqu'ils prennent également le temps de partager leurs connaissances dans le cadre de formation?
Certains juristes savent marcher et mâcher de la gomme en même temps... Je peux même prendre le temps de vous apprendre comment faire, si vous voulez.
Daniel
il y a 5 ansAllez voir ce reportage. Vous allez comprendre si vous n'êtes pas de mauvaise foi.
https://ici.tou.tv/la-course-vers-l-intelligence-artificielle/S01E01