Des « Tinder » pour les avocats
Florence Tison
2020-05-29 12:00:00
La plateforme britannico-colombienne Qase laisse ainsi ses utilisateurs magasiner un avocat, et a même une option pro bono pour ceux qui ont perdu leur travail en raison de la pandémie.
L’Université Queen’s a elle aussi lancé un outil en ligne, MyOpenCourt.org, qui fait le pont entre les avocats et les clients potentiels. Là encore, on parle de services pro bono pour « aider les Canadiens qui sont sans travail ».
Une autre plateforme, Vexxit, a délaissé les offres de services financiers pour se consacrer aux services juridiques. Plusieurs avocats l’utilisent, notamment au Manitoba.
D’autres sites tels que LawyerLocate et LegalMatch existaient déjà avant la pandémie, mais ont maintenant plus d’avocats inscrits - des avocats à la recherche de clientèle.
Et au Québec?
YB
il y a 4 ansEn tant qu'avocate, je ne tiens pas particulièrement à partager ma vie avec un autre avocat... imaginez les joutes oratoires à n'en plus finir en cas de différend !
Lecteur
il y a 4 ansOn voit que vous avez bien lu l'article et pas que le titre - félicitations !