Deux nouveaux associés chez Osler
Delphine Jung
2017-03-01 08:30:00
Me Ubani est spécialisé en droit des sociétés et des valeurs mobilières. Sa pratique est axée sur l’établissement de fonds de capital de risque et d’investissement privé, les investissements et les sociétés en démarrage, le financement d’entreprises, ainsi que les fusions et acquisitions de sociétés fermées.
Il détient un diplôme en droit ainsi qu’un diplôme en biochimie, tous deux obtenus à l’Université McGill. « J’ai toujours eu un intérêt pour les sciences, d’où mon désir de faire des études dans ce milieu-là. Puis je me suis demandé quelle pourrait être la suite. Je me suis tourné vers le droit en me disant que cela serait une option intelligente », dit Me Ubani.
Me Gauthier quant à lui est spécialisé en droit des sociétés et son travail se concentre plus particulièrement sur le financement d’entreprises et les fusions et acquisitions. Il a agi pour des sociétés ouvertes et fermées, des fonds d’investissement, des courtiers en valeurs mobilières et des banques d’investissement, ainsi que des chefs de file sectoriels dans un éventail de secteurs, notamment l’immobilier et les ressources naturelles.
Il est diplômé de HEC Montréal et de l’Université de Montréal. Il détient entre autres un baccalauréat et une maîtrise en droit, en plus d’un DESS de management. « Je trouvais que la formation que m’offrait HEC était un bon complément à mes études de droit », explique Me Gauthier.
Les deux avocats ont fait leurs armes chez Osler après leur entrée au Barreau (2008 pour Me Ubani et 2006 pour Me Gauthier). Tous les deux évoquent une « culture de l’entreprise » qui leur plaît et « une belle mentalité ».
Quant à leur accès au statut d’associé, les deux hommes y voient une belle reconnaissance pour de nombreuses années de travail. « C’est une nouvelle étape dans ma carrière et qui apporte son lot de nouveaux défis », ajoute Me Ubani.
Ils conseillent aux jeunes avocats de développer un domaine d’expertise dans lequel ils excellent et surtout, qu’ils aiment, afin d’apporter une vraie plus-value au cabinet qui les embauchera.