D’intervenante sociale à associée chez Gobeil & Lapierre
Éric Martel
2018-08-08 08:30:00
« Je voulais travailler au sein d’une petite équipe. En devenant la quatrième associée de Gobeil & Lapierre, j’ai l’opportunité de me développer à long terme. C’est l’idéal pour moi. »
Un parcours atypique
Maude Bornais a complété un premier baccalauréat en psychologie à l’Université Laval avant de pratiquer le métier d’intervenante sociale. D’emblée, elle n’aurait pas imaginé qu’en 2014, elle compléterait un deuxième baccalauréat en droit à la même institution.
« J’aimais le domaine de l’intervention, mais je trouvais que le droit m’offrirait un outil supplémentaire pour y évoluer. J’ai donc choisi d’étudier pour pratiquer le droit de la famille. »
Celle qui a étudié dans un microprogramme de premier cycle portant sur l’étude des abus sexuels considère que son ancienne fonction d’intervenante lui permet d’être une meilleure avocate dans son champ d’expertise.
« Dans les dossiers que l’on traite, les clients sont généralement en période de crise. Il faut savoir communiquer adéquatement avec eux. »
Chose certaine, Maude Bornais est chez Gobeil & Lapierre pour y rester. L’avocate souhaite y évoluer à très long terme…
Anonyme
il y a 6 ansVous avez la formation complémentaire par excellence pour œuvrer en droit familial. Il faut juste s'assurer de ne pas confondre les deux chapeaux, soit celui d'intervenante et celui d'avocate. Le droit de la jeunesse est également dans vos cordes!
D'une ex-familialiste :-)
DSG
il y a 6 ansThis person is right, do not confuse your role of social worker with that of lawyer. Remember, you went from trying to alleviate human misery to being the primary cause of human misery. However the pay is better, so it should alleviate your conscience.