Trois avocates chez Pringle & Associés se confient
Sonia Semere
2022-12-13 15:00:00
Pourquoi avez-vous choisi ce cabinet?
Alexis Ibgui: Je pense qu’on s’entend pour dire toutes les trois que c’est quand même un des trois meilleurs cabinets en droit familial à Montréal. On compétitionne très bien avec les grands cabinets. Je pense que pour nous trois ça a été une très bonne opportunité qu’on a saisie.
Julie Lefebvre : Je suis en début de carrière, je n’avais jamais eu la chance de toucher au droit familial. C’était quelque chose qui m’intéressait beaucoup de pouvoir essayer cette pratique là. Et puis, c'est certain que de pouvoir commencer dans un bureau avec une notoriété comme celle de Pringle & Associés, c’était une très bonne opportunité.
Gabrielle Gallio : Il y avait aussi l’opportunité de travailler avec des avocats émérites comme Me Pringle…
Selon vous, qu’est-ce que vous apportez de plus au cabinet?
A-I : Le cabinet est en pleine expansion dans le sens où on a de plus en plus de mandats. Comme tout cabinet, à un moment donné, je pense que l’équipe avait besoin d’aide pour pouvoir répondre à la demande.
On a quand même des dossiers d’envergure donc on a besoin de toute une équipe de soutien et c’est pour ça, à mon avis, que plusieurs avocats ont été engagés en même temps.
G-G: Je dirais qu'avant d’intégrer l’équipe de Pringle & Associés, j'ai travaillé dans un petit cabinet en droit de la famille, donc j’ai vraiment acquis une expérience pratique, sur le terrain. Cet apprentissage-là m’a vraiment permis d’intégrer l’équipe de Pringle & Associés de façon fluide.
J-L : Avant de travailler en droit de la famille, j'ai travaillé en droit criminel pendant un petit moment, donc je pense que ça m’a appris à être en contact avec des clients qui vivent des situations difficiles.
Ça m'a permis d’avoir une dimension humaine et une responsabilité par rapport à ce que les clients vivent. C’est quelque chose que je suis amenée à beaucoup appliquer dans mon travail ici chez Pringle.
Qu’est-ce qui vous a poussé à étudier le droit et à pratiquer le droit familial?
J-L : C’est vraiment la dimension humaine. J’avais fait des études en science politique avant, et j'ai toujours voulu pratiquer dans un domaine où on est très proche du client, où on peut voir l’impact qu'on a dans leur vie rapidement.
G-G : C’est aussi l'aspect du droit humain qui m’intéressait en droit de la famille. J’ai participé à de nombreuses organisations à but non lucratif pour aider les femmes victimes de violence conjugale et les étudiants étrangers.
A-I: Et puis, ce que les gens ne savent pas en droit de la famille, c'est que c'est très multidisciplinaire. Il faut être très polyvalent et ce challenge m'intéresse énormément.
Quels défis se présentent à vous cette année ?
J-L : On voit dans les dossiers qu'on a à gérer que la pandémie a eu des impacts assez importants dans les familles. La crise sanitaire a parfois exacerbé des problèmes qui étaient déjà là.
G-G : Aussi, le nombre de féminicides et de violences conjugales a augmenté l’année dernière en raison de la Covid-19…
Anonyme
il y a 2 ansVivre sur le cadavre des familles éclatées, en vidant à coups de factures de 15 000$ des patrimoines parfois accumulés sur des générations, voilà la réalité pas très glamour du droit familial.
Vous avez raison de vous battre madame, et s'il le faut la terre agricole demeurée dans la famille depuis 3 siècles sera vendue à Pangea !
DSG
il y a 2 ansI think that it's a subconscious thing because the firm name makes me think of Pringle's Chips. Everyone loves chips.
A
il y a 2 ansDu droit de millionaire, où remplir un formulaire de pension alimentaire coûte 850$ plus taxes.
Pas représentatif de la pratique.