Nouvelles insolites !
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Delphine Jung
2017-04-21 13:15:00

Une remplaçante a finalement été trouvée. C’est avec deux heures de retard que les comparutions ont alors pu commencer, le temps que la juge Sophie-Marie Boyer prenne connaissance des dossiers.
Il s’agissait finalement d’un simple oubli de la part du juge, qui avait interverti deux jours dans son agenda.
Les voleurs de manchots gagnent du temps
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Adrian Donian et Emile du Plessis avaient décidé, en septembre dernier, d’enlever puis relâché dans l’océan Indien un manchot élevé en captivité, a rapporté l’AFP.
Ils étaient ainsi entrés par effraction dans un parc aquatique de Port-Elizabeth pour venir au secours de Buddy, un manchot de 3 ans, avant de le relâcher sur une plage. Le but était de protester contre la captivité des animaux.
Le responsable du parc était plutôt inquiet du sort du manchot, expliquant qu'il n'était pas apte à survivre dans la nature après sa longue captivité.
Les poursuites ont été suspendu car le parquet n'a toujours pas pris formellement la décision de les poursuivre.
Buddy n'a jamais été retrouvé depuis sa libération.
Obligé de twitter sa condamnation depuis sa cellule
Luis Pineda, un espagnol condamné pour diffamation se retrouve obligé de tweeter sa peine depuis la prison, a rapporté l’AFP.
Il a été jugé par le tribunal de Séville pour avoir insulté et accusé de plusieurs délits le porte-parole d’une association de consommateurs sur Twitter. Lui-même était président d’une association du même type.
C’est la victime qui a demandé cette condamnation plutôt insolite. Ainsi, il a été condamné à effacer les 57 tweets incriminés et à publier, pendant 30 jours, le texte de sa condamnation sur le réseau social.
À l’heure actuelle, il a refusé d’exécuter cette peine et même de prendre connaissance du jugement.