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Un prof de droit met la pression sur l’Université McGill
Didier Bert
2021-09-28 13:15:00
L’Université McGill doit en faire plus pour offrir un environnement sain à ses étudiants et à son personnel, affirme ce professeur à la faculté de droit.
Richard Gold est également le directeur du Centre des politiques en propriété intellectuelle. Il est aussi titulaire d'une chaire James McGill.
« McGill a adopté l'attitude selon laquelle tout va simplement bien se passer. Nous avons déjà vu cette histoire et elle ne se termine jamais bien », pointe le professeur de droit dans un billet co-écrit avec Joanne Liu, professeure à la faculté de médecine et des sciences de la santé de l’Université McGill.
Leur texte est publié dans The Globe and Mail.
Les étudiants peuvent accéder aux salles de classe sans preuve de vaccination, mais avec le masque. Mais le port du masque n’est pas obligatoire pour les professeurs, illustrent les deux professeurs. La plupart des cours se déroulent en présence, alors que la distanciation physique n’est pas appliquée et que certaines salles sont mal ventilées, énumèrent-ils.
Or, « McGill avait promis aux étudiants que le campus serait sûr - non pas avec un risque zéro mais avec un risque raisonnable. Au lieu de cela, elle expose des étudiants, comme les receveurs d'organes ou les femmes enceintes, à un risque encore plus élevé, même s'ils sont vaccinés », accusent Richard Gold et Joanne Liu.
L’Université McGill n’exige pas de preuve de vaccination, parce que la loi québécoise l’interdit. Mais la même université a fait valoir devant un comité de l’Assemblée nationale que le gouvernement ne devrait pas exiger des universités une preuve de vaccination, pointent les deux professeurs.
« En d'autres termes, l'université fait du lobbying contre la seule mesure de santé que sa propre École de santé des populations et de santé mondiale a déclaré être essentielle à la lutte contre la Covid-19 », écrivent-ils.
Richard Gold et Joanne Liu concluent leur réquisitoire: « En prenant du retard sur les autres grandes universités, McGill met en danger ses plus vulnérables. Elle refuse de mettre en pratique le bon sens et les données probantes en matière de santé publique. Elle doit faire davantage, sinon des personnes vulnérables seront lésées sur son campus. »
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Anonyme
il y a 3 ansOu un autre propagandiste des politiques faillies de l'OMS (et de Legault-Harruda) ?
Ou les deux ?
Faites votre choix !
Encore ce matin, La grosse Presse ("à Power", disait autrefois Falardeau), nous parle de la mort de Kevin, dans "Fauché à 27 ans"
http://www.lapresse.ca/covid-19/2021-09-28/fauche-a-27-ans.php
Dans cet article, un passage que le journaleux de service n'a pas développé, constate que:
"
Trois jours plus tard, il a signé un refus de traitement afin de retourner chez lui, puisqu’il se sentait mieux. Au courant de la nuit, il a commencé à être fiévreux. Le soir du 9 septembre, son colocataire a appelé les urgences.
"
Ainsi, au lieu de "Kevin, fauché à 27 ans après avoir été infecté par la Covid", on devrait plutôt comprendre "Kevin, fauché à 27 ans après avoir été infecté par la Covid et refusé de se faire traiter par les médecins"!
Allen
il y a 3 ansMerci aux profs Gold et Liu pour tous leurs efforts. C'est fort apprécié.
- un employé de McGill
David Schulze
il y a 3 ansIl est inexact de prétendre que : "L’Université McGill n’exige pas de preuve de vaccination, parce que la loi québécoise l’interdit". Les auteurs écrivent plutôt : "One of McGill’s contentions is that it cannot adopt a proof-of-vaccination requirement because Quebec law prohibits it. Yet not only have 35 of its own law professors and instructors said otherwise, but the rector of the Université de Montréal, Daniel Jutras, acknowledged as much. There is no law or human rights provision that prevents the university, in a time of declared pandemic, from bringing in the same common-sense requirements that virtually every other major Canadian and U.S. university has implemented."
Marco Leclerc
il y a 3 ansPlutôt que de jouer sur les peurs, pourquoi ne pas regarder ce qui ae passe en Suède?
C'est bizarre, personne ne parle des pays qui ont du succès sans mesures liberticides.
Avocat
il y a 3 ansAvez-vous regardé le taux d'infection et de mortalité de la Suède par 100 000 habitants?
Infections
Canada : 4229/100 000
Québec : 4775/100 000
Suède : 11 398
Mortalité
Canada : 73/100 000
Québec : 132/100 000
Suède : 147/100 000
Pas à dire, gros succès.
Marco Leclerc
il y a 3 ansComme la logique la plus élémentaire le commande, je me fous éperdument du taux d'infection.
Par ailleurs, le taux de mortalité est comparable sinon meilleur que les pays confineurs et liberticides.
Du reste, le succès face à cette épidémie de corrompus ne se mesure pas que par le taux de mortalité.
J'espère que vos défenses sont mieux informées que la réponse que vous avez perroqueté.
Avocat
il y a 3 ansSi vous ne vous préoccupez pas du taux d'infection ni du taux de mortalité (qui est, ne vous en déplaise, plus élevé en Suède que les pays confineurs - car tous ont confiné à un moment ou un autre, sauf la Suède - sauf les E.-U. et le Brésil), avec quoi mesurez-vous le succès?
Anonyme
il y a 3 ansLiberticides, corrompus...c'est pas mal le vocabulaire des gens endoctrinés. Et c'est vous qui reprochez aux autres de "perroqueter" ? Continuez de boire le bon kool-aid mon cher Marco.