Elle fait son entrée chez Tsanoussas Avocat

Me Emily Bandiola a fait son entrée au cabinet Tsanoussas le 25 juillet - date de son assermentation comme avocate - afin de pratiquer en droit de la famille et en litige civil.

Séduite par une «équipe dynamique» et une «belle atmosphère», elle a décidé d’y demeurer à la fin de son stage. «Dès le premier jour je m’y suis sentie à l’aise, dit-elle à Droit-inc. En plus, on partage le bureau avec d’autres avocats indépendants alors on peut s’entraider, tout le monde est fin et partage son expérience. J’apprends beaucoup.»

Diplômée d’un baccalauréat en droit (2017) et d’un baccalauréat en psychologie (2014) de l’Université de Montréal, la juriste de 26 ans déclare avoir toujours aimé le côté humain du métier ainsi que le contact avec le client.

«Je ne me voyais pas faire du droit commercial, ou exercé en lien avec des compagnies, poursuit-elle. Je veux me spécialiser en droit de la famille, aider les familles dans les séparations, avec les gardes d’enfants, quand elles ont besoin d’un soutien émotionnel en plus d’un avocat.»


L’humain avant tout

En effet, son intérêt pour l’humain transpire de son parcours. Auparavant, Me Bandiola a exercé comme co-coordinatrice juridique bénévole chez PINAY Québec en 2016-2017 où elle faisait valoir les droits des travailleuses domestiques philippines.

Bon nombre de femmes de sa propre famille faisant ce métier, le sujet l’a interpellée. L’avocate y rencontrait notamment les gens afin de discuter de leurs besoins liés au droit de l'immigration ou au droit du travail, par exemple.

Enfin, notons qu’elle a été étudiante en 2015 au sein de l’Association des Aides Familiales du Québec et qu’elle a effectué un stage volontaire à la Cour supérieure du Québec auprès de l’honorable Claude Champagne. Elle l’avait rencontré lors d’une visite du Palais de justice à Montréal alors qu’elle était en première année de droit.

Désormais, elle envisage son avenir au sein du cabinet Tsanoussas. «J’aimerais rester ici, j’aime les personnes avec qui je travaille, et je ne me vois pas devenir indépendante dans un futur proche.»