En solo pendant 11 ans, il entre chez Spiegel Sohmer
Céline Gobert
2018-10-09 14:30:00
Barreau 1997, l’avocat se spécialise en litige civil et commercial depuis plus de 20 ans. «Les avocats que j’ai rencontrés sont chaleureux, sympathiques, et ça c’est très important pour moi», dit-il à Droit-inc.
Ses premières armes, ce médiateur accrédité depuis 2013 les a faites au sein du cabinet Stikeman où il est resté sept ans, de 2007 à 2018. «J’ai eu l’occasion de travailler avec d’excellents avocats et mentors, d’apprendre à développer une clientèle, et d’être en mesure de partir à mon compte», raconte-t-il à Droit-inc.
Au total, il exercera en solo pendant 11 ans. «Mais j’ai voulu trouver une firme avec une infrastructure et des ressources qui me permettent de poursuivre mon expansion.»
En solo, cela peut être plus difficile, dit-il, surtout quand on embauche des avocats qu’il faut former. «Quand on consacre beaucoup de temps à faire ça, cela affecte votre rentabilité et votre propre travail.»
Du soutien
Diplômé en droit de l’UdeM (1997) et détenteur d'un baccalauréat en common law de l'Université d'Ottawa (2000), Me Banon trouve alors chez Spiegel ce qu’il cherchait : «un appui important.» Il peut désormais déléguer son travail à plusieurs avocats.
«Et Spiegel Sohmer a une équipe d’avocats bien formés, bien rodés. J’ai également adoré leur approche humaine et conviviale. Le cabinet met beaucoup d’emphase sur la qualité de vie des avocats.»
Chez Spiegel, le juriste quarantenaire s’occupe de dossiers portant sur des demandes d’injonction, des conflits entre actionnaires et des différends contractuels.
Sa pratique s’étend également en droit de l’emploi, contentieux administratif et réglementaire, droit immobilier et de la construction, droit des fiducies et des successions, ainsi qu’en matière de diffamation.
«Aussi, j’ai accès à une technologie de haut niveau à l’intérieur du cabinet et je dispose de beaucoup de latitude dans mes horaires, poursuit-il. Le cabinet ne lésine sur rien pour donner à l’avocat tout ce dont il a besoin. Et ça c’est important pour la nouvelle génération. L’époque où les avocats viennent au bureau de 8h30 à 18h et plus est révolue!»
Selon lui, c’est clair : pas besoin «d’être assis derrière un bureau dans une tour du centre-ville» pour bien servir sa clientèle.