En plus des cabinets américains, deux grands cabinets pancandiens sont impliqués dans la fermeture du capital du géant déchu des télécommunications …
Me John Emanoilidis, associé co-directeur du groupe fusions-acquisitions chez Torys.Dans les documents réglementaires déposés suite à l’offre de Fairfax Financial, BlakBerry révèle que son conseiller légal principal est la firme Skadden, Arps, Slate, Meagher & Flom de New York avec une équipe composée des associés Steve Arcano, Neil Stronski et Richard Grossman.
Le volet juridique canadien de la transaction évaluée à plus de 4,7 milliards de dollars, a quant à lui été confié au cabinet Torys de Toronto, et notamment John Emanoilidis, associé co-directeur du groupe fusions-acquisitions.
Me Gary Girvan de chez McCarthy TétraultLe cabinet américain Shearman & Sterling, -- et notamment Scott Petepiece pour les aspects de fusions acquistions, Jason Lehner pour la gestion des marchés torontois et new yorkais, et Alan Goudiss, associé du groupe litige-- ainsi que McCarthy Tetrault sont en charge des intérêts de Fairfax. Du côté du cabinet pancanadien, Gary Girvan, et David Tennant associés du bureau de Toronto, ont piloté le dossier.
Rappelons que Skadden, Arps est dirigé par Greg Craig, qui fut le conseiller juridique du président Barack Obama lors de son premier mandat.
Par ailleurs, c’est un autre cabinet américain, Milbank, Tweed, Hadley & McCloy, qui a guidé la haute direction de BlackBerry dans les efforts de redressement ayant mené à l’offre de privatisation déposée par Fairfax.
Me Michael Coates de Hill & Knowlton.Et la techno de Waterloo ne néglige pas le volet lobbying de la transaction. Elle a retenu les services de la très grosse pointure Michael Coates de Hill & Knowlton pour couvrir ses arrières à Ottawa.
L’ancien conseiller politique conservateur a d’ailleurs déjà tenu une réunion avec le directeur des communications de Stephen Harper, Andrew McDougall.
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