Financière des avocates et des avocats

Finis, les frais exorbitants pour assurer son cabinet!

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Sophie Ginoux

2024-08-29 15:00:09

Nathalie Martel, conseillère de la Financière des avocates et avocats. Source : Financière des avocates et avocats.
Nathalie Martel, conseillère de la Financière des avocates et avocats. Source : Financière des avocates et avocats.
Les avocats et notaires paient-ils trop cher pour garantir la santé financière de leur affaire en cas de problème? La réponse est trop souvent oui. Il faut donc y voir!

Être un avocat ou un notaire à son compte, que ce soit comme travailleur autonome, associé ou président d’un cabinet, va de pair avec des responsabilités. Il faut bien sûr travailler à la rentabilité de son entreprise et à son développement, mais aussi s’assurer que son fonctionnement ne soit pas affecté, quoi qu’il advienne.

Or, des éléments peuvent à tout moment venir perturber cette machine bien huilée. Une maladie, un accident, une transition avant son départ pour la retraite, l’absence d’un employé clé du cabinet pour des raisons de santé… La liste des pépins potentiels qui aboutissent à des pertes financières est longue.

Les gestionnaires et entrepreneurs n’ont donc d’autre choix que celui de contracter des assurances pour protéger leur affaire. Mais le font-ils adéquatement? Et paient-ils le juste prix pour cette couverture? Rien n’est moins sûr.

Le vrai coût d’un bureau

De quoi parle-t-on, exactement, quand on parle de frais de bureau, notamment quand on doit le protéger contre toute éventualité?

« Il faut tenir compte de beaucoup d’éléments, indique Nathalie Martel, conseillère de la Financière des avocates et avocats. Le loyer ou le prêt mensuel en cas d’achat des murs, les services publics (électricité, chauffage), les communications (téléphone, Internet, abonnement à des plateformes diverses), l’achat de matériel physique et informatique, le salaire et les avantages sociaux des employés, les services comptables, les assurances, les droits d’adhésion à des ordres professionnels, etc. »

En cas d’invalidité, partielle ou totale, d’un gestionnaire ou d’un de ses employés clés, tous ces éléments peuvent évidemment être chamboulés. Si bien que beaucoup d’employeurs prennent des assurances pour pallier ces pertes financières… mais à quel prix!

Effectivement, les assurances en question, établies sur une base individuelle et non corporative, se juxtaposent et font rapidement grimper la facture. Elles sont également lacunaires, ne tiennent souvent pas compte de l’indexation du coût de la vie ou de la réalité du milieu juridique, en plus d’être souvent longues à s’enclencher (jusqu’à 90 jours).

« Quand ce genre de situation inattendue arrive, les assurés paient donc de leurs poches, directement ou indirectement, les frais de bureau plutôt que de consacrer ces prestations à leur propre rétablissement, ou bien à celle de leurs employés touchés. De plus, le prix d’une assurance individuelle pour couvrir tous ces frais corporatifs est très élevé. C’est un non-sens absolu! » s’exclame Mme Martel.

Épargner de l’argent avec la bonne solution

Pour bien illustrer la différence entre une assurance adaptée aux besoins corporatifs d’un cabinet ou d’une étude, et une assurance invalidité individuelle, un exemple vaut mille mots. Nathalie Martel s’est par conséquent prêtée au jeu de comparer pour nous l’assurance des frais généraux proposée par la Financière des avocates et des avocats, et une assurance invalidité habituelle.

« Pour un homme non fumeur de 35 ans, chaque tranche de prestations de 1000 dollars avec l’assurance de frais généraux coûte 48 $ par an, alors qu’elle est du double pour une assurance invalidité. Et pour une femme du même âge, il en coûte 62,75 $ par an, soit trois fois moins que ce qu’elle paierait pour la même protection avec une assurance invalidité », explique l’experte.

Si on multiplie par 10, 20 ou 30 le montant de prestations mensuelles nécessaires pour couvrir les coûts de fonctionnement de son entreprise, on se rend immédiatement compte de la différence majeure qu’il y a entre ces deux formules.

Mais ce n’est pas le seul bon point de l’assurance des frais généraux de La Financière. Son délai de carence de seulement 14 jours, l’absence de preuves de dépenses à fournir au cours des 12 premiers mois de prestations, la possibilité d’étendre cette protection à l’ensemble de ses employés, et celle de conserver sa couverture jusqu’à l’âge de 80 ans sont quelques-uns des avantages de ce produit conçu spécifiquement pour refléter la réalité du milieu juridique.

Et ce n’est pas tout. Pour revenir à l’aspect économique qui nous intéresse, il faut savoir qu’en plus d’être moins chère, plus complète et mieux adaptée au fonctionnement d’un cabinet, l’assurance de frais généraux… est déductible d’impôts!

« Vu tout ce qu’elle offre, je la recommande donc vivement à tous les gestionnaires et entrepreneurs du secteur juridique. C’est vraiment une des meilleures protections sur le marché! » conclut Nathalie Martel.

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