Pourquoi j'ai choisi Dunton Rainville
Sophie Ginoux
2024-04-09 15:00:38
Dans quel cabinet peut-on s’épanouir, personnellement et professionnellement? Nous avons demandé à trois avocats, à autant de stades de carrière, de nous expliquer leur choix…
Le cabinet Dunton Rainville fête cette année ses 70 ans d’activité. En l’espace de sept décennies, ce bureau a porté plusieurs noms, dont celui que nous connaissons depuis 1989, et a vu passer plusieurs grands du droit au Québec, devenus juges au Tribunal administratif, à la Cour supérieure et même à la Cour suprême du Canada.
Synonyme d’excellence en droit commercial, en droit des affaires, en droit immobilier, en droit du travail, en droit public et municipal, en droit civil, en droit familial, en notariat, ainsi qu’en négociation, en médiation et en arbitrage, Dunton Rainville offre à ses avocats un nom prestigieux, une belle diversité de champs de pratique, une solide présence avec ses sept bureaux actifs à travers le Québec, et l’avantage de faire partie de SCG Légal, un réseau international de 120 des plus importants cabinets d’avocats indépendants établis à travers le monde.
Une belle présentation sur papier, donc, mais les quelque 120 professionnels qui œuvrent au sein de ce cabinet le choisissent-ils uniquement pour ces raisons? C’est ce que nous avons voulu savoir en allant à la rencontre de trois d’entre eux à différents stades de carrière.
D’étudiant à associé
Me Marc-Alexandre Girard, spécialisé en droit du travail, en droit municipal et en accès à l'information, fait partie des rares avocats à avoir réalisé l’ensemble de son parcours au sein du même bureau. Il fait effectivement partie des rangs de Dunton Rainville depuis sa 2e année d’études en droit!
Mais cela s’explique facilement, selon lui : « Lors de ma course aux stages, j’avais eu un fit immédiat lors de mon entrevue avec Me Jean-Jacques Rainville, avec lequel j’avais parlé histoire, économie et politique, se souvient-il. J’avais aussi rapidement établi des liens de confiance avec les avocats du cabinet, qui me donnaient la chance de rédiger des procédures alors que je n’étais qu’un jeune étudiant. »
Quand le temps est venu pour le Barreau 2005 de sélectionner l’endroit où il aimerait commencer sa carrière, Me Girard n’a donc pas hésité du tout.
« Et j’ai fait le bon choix, car dès le début, j’ai été responsable de A à Z de mes dossiers, y compris des plaidoiries en cour. C’était un gros défi, mais une expérience géniale », raconte-t-il, en ajoutant qu’il aurait été incapable d’y arriver sans l’aide de ses collègues, même s’ils n’étaient pas désignés pour l’encadrer.
Associé de Dunton Rainville depuis 2013, l’avocat pratique à son tour la politique d’entraide qui lui a été si précieuse avec ses collaborateurs comme les étudiants du cabinet. Il apprécie aussi énormément que ce dernier montre autant d’ouverture à l’ajout de nouveaux associés.
« Après 7 ans d’exercice, si nous faisons nos preuves, nous sommes toutes et tous invités à devenir associés du cabinet, et ce, au même niveau décisionnel. Ce n’est pas inabordable comme ailleurs. Voilà également pourquoi j’aime autant évoluer ici », conclut-il.
Une collégialité peu commune
Barreau 2021 et titulaire d’un certificat en communication, Me Natalia Leon a débuté son parcours d’avocate en droit matrimonial. Cette première expérience professionnelle lui a permis de plaider régulièrement devant différentes instances, dont la Cour du Québec et la Cour supérieure.
« C’était intéressant, mais très engageant émotionnellement, avoue-t-elle. Je me suis donc réorientée vers une spécialité où il y aurait moins de conflits parentaux. »
Depuis près d’un an, Me Leon évolue donc pour Dunton Rainville en droit du travail et de l’emploi, de même qu’en litige civil et commercial. Et elle adore son nouveau quotidien!
« Je m’implique dans beaucoup de choses différentes, des conventions collectives aux contrats de travail, en passant par les dossiers de harcèlement psychologique. C’est très formateur », explique-t-elle.
L’avocate est par contre tout à fait consciente qu’elle a réussi ce virage à 180 degrés grâce à l’accompagnement de ses collègues du cabinet. « J’étais prête à apprendre et à m’impliquer, dit-elle, mais j’ai été épaulée par tous les avocats du bureau, juniors comme séniors. Que ce soit pour des questions sur un dossier ou pour savoir comment le plaider. »
C’est cette écoute et cette collégialité constantes qu’apprécie le plus Me Leon au sein de Dunton Rainville, de même que la confiance qu’on lui voue, sans pression indue sur ses objectifs annuels. « Tout est géré de manière très humaine au sein de ce cabinet, je m’y sens bien », dit-elle.
La dernière arrivée!
Me Sara Lajoie est la toute nouvelle recrue de Dunton Rainville. « Je suis en quelque sorte le « bébé » du cabinet », dit en souriant la jeune femme, qui a été assermentée en février dernier après avoir notamment, au cours de ses études, remporté la Médaille du lieutenant-gouverneur pour la jeunesse et participé à la Simulation des Nations Unies.
L’avocate est très fière d’intégrer les rangs de ce grand cabinet juste après y avoir effectué son stage. « Depuis toute petite, raconte-t-elle, j’aime défendre des intérêts et m’élever contre certaines injustices. La perte soudaine d’un emploi, une poursuite pour des vices cachés après l’achat d’une maison, ce sont des choses qui me faisaient réagir quand j’étais au Cégep. »
Désormais, Me Sara Lajoie consacre principalement sa pratique au droit du travail, à la santé et à la sécurité au travail, ainsi qu’au litige civil et administratif. Elle est avide d’apprentissages et de défis, deux aspects qu’elle est sûre de pouvoir combler dans son nouvel emploi.
« Je suis entourée par une fabuleuse équipe qui m’accompagne tous les jours. Mais j’adore aussi l’approche personnelle que nous avons avec nos clients. Nous sommes tous accessibles, ce que je trouve important. »
La jeune avocate tient enfin à souligner l’équilibre travail-vie personnelle que lui offre Dunton Rainville. « Je travaille fort, mais mes supérieurs sont toujours compréhensifs et accommodants lorsque j'ai besoin de temps libre, dit-elle. Je dispose d’ailleurs assez souvent de mes soirs et de mes weekends. »