De quoi parlera-t-on au 5ème Symposium de Fasken ?

Pour Fasken, l’idée d’un Symposium remonte à 2009, lorsque le Barreau du Québec impose alors à chacun de ses membres d’effectuer trente heures de formation continue obligatoires sur une période de deux ans.

« C’est une excellente idée qu’a eu le Barreau du Québec que de permettre à ses membres de se ressourcer, de mettre à jour leurs connaissances, et de maintenir une bonne compréhension des développements juridiques. Cela évolue beaucoup, comme vous le savez », explique Me Louis Bernier, associé chez Fasken Martineau et président du comité du Symposium depuis le tout début.

De cette « décision heureuse », poursuit-il, Fasken en a tiré une idée.

« Nous nous sommes penchés là-dessus : quels outils pourrions-nous mettre à disposition des conseillers juridiques- avec lesquels, par ailleurs, nous sommes amenés à beaucoup travailler ? Un Symposium nous a paru comme la meilleure façon de répondre à cette idée de formation continue ».

Cette année, ce sera donc la 5ème édition de cette demi-journée entièrement destinée et consacrée aux conseillers juridiques d’entreprise, « qu’ils soient clients ou non du cabinet », ajoute Me Bernier.

Rendez-vous donc le mardi 7 mai au Centre Mont-Royal. Fasken y servira le petit-déjeuner, le lunch et proposera neuf séances thématiques, d’informations et de formations, différentes.

« Nous sommes le seul cabinet qui offre un produit de cette nature, explique l’associé de chez Fasken. Les conseillers juridiques n’ont pas beaucoup d’occasions de se rencontrer, de se voir, d’échanger. Le Symposium leur donne la possibilité de rencontres avec leurs pairs et de prises de contact avec des collègues. »

Dans cette géante marée de réseautage, pour laquelle Fasken n’attend pas moins de 600 conseillers juridiques, vous pourrez également croiser Mme Julie Payette, déléguée scientifique du Québec à Washington et membre du Corps des astronautes de l'Agence spatiale canadienne ainsi que bon nombre de représentants et de sociétés que Me Bernier préfère encore tenir confidentiel.

A noter que le Barreau du Québec sera présent à l’évènement cette année.

Scoops !

En revanche, l’avocat est d’accord pour nous offrir quelques scoops en ce qui concerne les sujets abordés.

« On s’assure de couvrir un éventail de sujets, d’expertises, de spécialisations, explique l’avocat. Des sujets d’intérêts pratiques pour les participants, et qui collent à l’actualité. On s’intéresse aux nouveaux développements jurisprudentiels ou sociaux, aux impacts juridiques des nouveaux secteurs ou industries, à tout ce qui est ‘à la page’».

Parmi eux, seront abordés :

- L’informatique dans les nuages : les aspects juridiques du cloud computing,

- Les questions d’ententes de confidentialité, lors d’une négociation entre deux parties pour une transaction commerciale.

« La question est de savoir, dans le cas où la transaction n’aboutisse pas, quelles sont les suites juridiques à donner à ces ententes de confidentialité ? Quelles sont les responsabilités contractuelles ? Extracontractuelles ? Les dommages ? »

- Le projet de règlement sur les mesures que peuvent prendre les entreprises publiques lorsqu’elles sont l’objet d’une acquisition, projet conduit par l’Autorité des Marchés Financiers

« Quels sont les outils pour réagir à une tentative d’acquisition, qu’elle soit amicale, non amicale, hostile ? ».

- Les questions relatives aux louages immobiliers : modalités et conditions,

- Les questions des règles de déontologie auxquelles les conseillers juridiques font face dans l’exercice de leur fonction.

Notez donc la date de ce grand évènement dans vos agendas !