Maladies graves : et si c’était vous ?
Sophie Ginoux
2022-12-02 13:15:00
Rien ne nous prémunit cependant contre les maladies. Et les plus graves d’entre elles, plus précisément. Cancer, AVC, défaillance d’un organe vital, brûlures graves, paralysie, surdité ou cécité, démence, sclérose en plaques... Lorsque le diagnostic tombe, personne n’y est jamais vraiment préparé, pas plus qu’aux mesures qu’il faudra mettre en place pour continuer à vivre.
Une personne sur trois
Saviez-vous que le risque que votre maison prenne feu est de 1 sur 1165, et celui d’être impliqué dans un grave accident de la route de 1 sur 4830 (soit 0,004 %) ? Par contre, un-tiers d’entre vous (33,3%) risquez de souffrir d’une maladie grave.
Cette donnée semble effarante, et pourtant, elle est bien réelle. Chaque année, 400 000 Canadiens sont frappés par une invalidité de longue durée suite à un AVC, car ils sont plus de 80% à y survivre ; ce taux grimpe même à 90% quand il s’agit de crises cardiaques.
De la même manière, 63% des personnes atteintes d’un cancer y survivent plus de cinq ans, souvent avec des capacités de travail moindres suite à leurs traitements. Et que dire des personnes atteintes d’Alzheimer ? Les coûts financiers (33 milliards de dollars par an) et humains (444 millions d’heures non rémunérées) assumés par leurs proches sont énormes.
Lorsqu’on prend conscience de ces quelques chiffres, on peut et on doit se questionner sur sa capacité financière à faire face à un tel drame. Et la maladie n’a pas d’âge, car elle peut aussi bien toucher une personne dans la soixantaine, qu’une autre plus jeune avec des enfants aux études et des engagements financiers.
Une protection salutaire
En prenant conscience que 42% des Canadiens, même nantis, ne pourraient pas vivre plus de six mois sur leurs économies en cas de maladie grave, la Financière des avocates et des avocats a conçu une assurance spécifique en cas de coup dur.
« Il faut effectivement se donner les moyens, de son vivant, de pouvoir s’adapter financièrement à de telles situations, indique le conseiller Michel Dugal. Parfois, il y a de gros défis à relever, qu’il s’agisse de médicaments et de soins non couverts par l’assurance-maladie, d’équipements à acheter, d’aménagements à faire dans son foyer, de services personnels à défrayer. »
Pour permettre à ses membres de se concentrer sur leur processus de guérison plutôt que sur des soucis financiers, la Financière offre donc une assurance qui permet de verser un montant forfaitaire lors de l’annonce du diagnostic de 25 affections majeures.
Contrairement à une assurance-vie, qui ne peut être versée qu’en cas de décès, et à une assurance invalidité basée sur le revenu de l’assuré, l’assurance maladies graves repose sur le principe du versement rapide et non imposable d’une somme allant de 25 000 $ à 1 000 000 de dollars, selon l’entente réalisée.
De plus, cette somme peut être utilisée à sa guise, puisqu’elle n’est pas liée à la présentation de reçus médicaux. On est ainsi totalement libre de l’investir dans des marges de crédit, de l’aide à domicile ou des traitements à l’étranger. Il est même possible de la recevoir tout en continuant à travailler !
Autant d’avantages, est-ce que cela coûte cher ? Pas vraiment, puisque pour une couverture de 50 000 dollars, le versement mensuel s’élève une quinzaine de dollars par mois. En outre, il n’est pas nécessaire de souscrire un contrat spécial pour ce type d’assurance, puisqu’elle constitue un avenant à l’assurance vie temporaire déjà détenue par bon nombre de membres de la Financière des avocates et des avocats.
Finalement, l’assurance maladies graves est une excellente solution pour prévoir l’imprévisible, et un soutien crucial en cas de coup dur. Il suffisait d’y penser !