Un Régime collectif pour les plus petits cabinets!
Sophie Ginoux
2023-03-28 13:15:00
Il faut dire que les options qui existent sur le marché pour décrocher des régimes d’assurance et d’avantages collectifs sont minces, voire inexistantes, quand on dispose de moins de 20 employés.
« Les avocats et les notaires de petits cabinets n’ont pas grand choix. Pour bénéficier d’une assurance médicale, ils doivent soit être couverts par celle de leur conjoint, soit souscrire individuellement à celle de leur association professionnelle, qui coûte très cher », confirme Nathalie Martel, conseillère pour la Financière des avocates et des avocats.
Dans un tel contexte, il est difficile pour un cabinet modeste de songer à des régimes collectifs équivalents à ceux de plus grandes entreprises ; et donc de garder leur personnel. Pourtant, il y a une solution à cette problématique.
Un régime pour les petites structures, vraiment ?
Il y a de quoi tomber en bas de sa chaise. Un régime pour les petits cabinets juridiques existe bel et bien au Québec : le Régime d’avantages sociaux de la Financière des avocates et des avocats. Et comment se distingue-t-il des autres produits sur le marché ? Parce qu’on peut y adhérer dès que l’on forme un groupe de trois personnes. Oui, seulement trois personnes !
« Ces trois personnes peuvent aussi bien être des avocats ou notaires, associés ou non, que d’autres employés du cabinet, précise Mme Martel. De plus, il n’est pas nécessaire d’intégrer tous les membres du bureau au régime, puisqu’il est adaptable selon le budget de l’entreprise et le type de protections désirées. »
En prime, le coût associé à un tel régime, qui pourrait être exorbitant vu sa rareté, est tout à fait accessible. « Il suffit de former un petit groupe, d’adhérer à une base d’assurance vie temporaire et d’assurance décès ou mutilation par accident (ADMA), et hop ! La porte est grande ouverte pour accéder à toutes les autres couvertures normalement réservées aux plus grandes structures, et ce, à un prix très compétitif. » On imagine déjà la ride en moins de plusieurs en lisant ces mots.
Une tonne de couvertures
Le fait d’adhérer à un régime collectif est une bonne chose. Les protections qui s’y associent en sont une autre. Souvent, plus la structure est petite, moins les avantages seront nombreux. Mais la Financière des avocates et des avocats, qui connaît parfaitement la réalité du milieu juridique, a conçu son régime de façon à ce que tous ses membres, aussi modestes soient-ils, puissent avoir accès à une belle gamme de couvertures. Pour y parvenir, la Financière s’est associée avec Desjardins Assurances, à l’efficacité largement reconnue en la matière.
Regardons à présent un peu plus en détail ce qui est offert dans ce régime, à commencer par la couverture médicale. Cette dernière comprend l’assurance médicaments et de soins de santé – sans examen médical au préalable, il faut le préciser. Les soins de santé en question sont étendus, puisqu’ils comprennent de base les services paramédicaux et l’assurance médicale de voyage, mais on peut aussi y greffer l’hospitalisation, l’assurance en cas d’annulation d’un voyage et les soins de convalescence.
Le régime permet également d’accéder à des options supplémentaires, comme des soins de la vue, une assurance maladies graves, une assurance invalidité, ainsi que trois niveaux de soins dentaires et d’orthodontie, ce qui laisse la latitude nécessaire aux cabinets de choisir selon leur budget. Et tout cela est offert aux membres assurés, de même qu’à leur conjoint et leurs enfants à charge.
Enfin, comme le milieu juridique se distingue par des départs à la retraite plus tardifs que dans d’autres secteurs, le Régime d’avantages sociaux de la Financière prévoit des couvertures d’assurance vie et décès ou mutilation par accident jusqu’à l’âge de 80 ans, ainsi que des soins médicaux et dentaires tant que les professionnels sont en activité.
« Sincèrement, c’est vraiment une magnifique formule pour les cabinets de moins de 20 personnes, et elle mérite d’être mieux connue » conclut Nathalie Martel. C’est le cas, à présent !