Deux nouvelles recrues chez Shadley Bien-Aimé
Julien Vailles
2018-03-01 08:30:00
« Le cabinet offre un mentorat exceptionnel, et l’équipe est unie et très dynamique! » se réjouit Me Moniz. Me Shadley renchérit en insistant sur l’importance du travail d’équipe dans la firme.
Le pain quotidien des deux avocates : les affaires de facultés affaiblies, les voies de fait, les agressions sexuelles, et quelques dossiers de fraude, de stupéfiants et des infractions disciplinaires. « C’est toujours différent, on ne travaille jamais avec les mêmes personnes, explique Me Shadley. L’aspect humain du travail est très stimulant. »
La firme Shadley Bien-Aimé, autrefois Shadley Battista, puis Shadley Costom, a été fondée il y a plus de 50 ans. Me Shadley est d’ailleurs la fille de l’un des associés fondateurs. Son frère œuvre aussi au cabinet.
Mes Shadley et Moniz ont toutes deux étudié longtemps avant la pratique. La première a d’abord complété un baccalauréat en sciences politiques et psychologie, en 2012, avant de faire ses études de droit de l’Université de Montréal, terminé en 2015. Pendant cette période, son intérêt pour le droit criminel et pénal se faisait déjà sentir : elle était présidente du Comité de droit criminel et pénal de la Faculté.
Quant à Me Moniz, après son baccalauréat en sciences politiques de l’Université Concordia, elle a fait ses études de droit à l’UdeM, puis a poursuivi au Juris Doctor en common law et droit transnational à l’Université de Sherbrooke, jusqu’en 2015.