Nominations

Les neuf femmes de Stikeman

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L'équipe Droit-Inc

2008-09-24 14:00:00

Le bureau de Montréal de Stikeman Elliott accueille neuf de ses stagiaires – toutes des femmes! - à titre de nouvelles avocates du cabinet.
Il s’agit d’Andrée-Anne Arbour-Boucher, Marie-Ève Ferland et Myra Khanna, qui se joindront au groupe du droit des sociétés. Maude Brouillette, Andrée-Anne Labbé et Caroline Plante, au groupe du litige. Corine Di Maria, qui se joindra au groupe du droit fiscal. Et Lana Rabinovitch et Sylvie Thibault, qui se joindront au groupe du droit de l’emploi et du travail.
Andrée-Anne Arbour-Boucher
Andrée-Anne Arbour-Boucher est avocate au bureau de Montréal du cabinet Stikeman Elliott. Sa pratique est axée sur le droit des sociétés et le droit des affaires, plus particulièrement dans les domaines des valeurs mobilières et des fusions et acquisitions négociées ou sur le marché public.

Me Arbour-Boucher a travaillé à titre d'étudiante au sein du contentieux d'une compagnie publique québécoise ainsi qu'à la Bourse de Montréal. Elle a également travaillé à titre d'assistante de recherche au Centre de Droit des Affaires et du Commerce International (CDACI) où elle a concentré ses recherches sur les fonds communs de placement.

Marie-Ève Ferland

Marie-Ève Ferland est avocate au bureau de Montréal du cabinet Stikeman Elliott au sein du groupe de droit des sociétés. Sa pratique est axée sur le droit corporatif et commercial, notamment dans le domaine des valeurs mobilières et des fusions et acquisitions négociées ou sur le marché public.

Myra Khanna
Myra Khanna pratique en droit des sociétés et en droit commercial, notamment dans les domaines des valeurs mobilières et des fusions et acquisitions négociées ou sur le marché public.

Maude Brouillette
Maude Brouillette pratique dans le domaine du droit du litige. Sa pratique est axée sur tous les aspects du litige, notamment la prestation de conseils, la rédaction de procédures de même que la représentation des clients devant les tribunaux.

Andrée-Anne Labbé
Andrée-Anne Labbé est pratique dans le domaine du droit du litige. Sa pratique est axée sur tous les aspects du litige, notamment la prestation de conseils, la rédaction de procédures de même que la représentation des clients devant les tribunaux.

Caroline Plante
Caroline Plante pratique au sein du groupe du litige. Elle se spécialise dans le domaine du litige en droit commercial général et de la propriété intellectuelle. Sa pratique concerne tous les aspects du litige, notamment la prestation de conseils, la rédaction de procédures de même que la représentation devant les tribunaux. Elle fait également partie du groupe de pratique de propriété intellectuelle.

Le groupe de propriété intellectuelle défend les intérêts de ses clients en protégeant leurs droits dans des secteurs aussi variés que l'industrie pharmaceutique, l'industrie des aliments et des boissons, l'industrie du divertissement, l'industrie de l'habillement, le marquage des modules d'interface et des logiciels, les tarifs applicables aux redevances visant des oeuvres musicales, les procédures en génie pétrochimique ainsi que le cybersquattage.

Corine Di Maria
Corine Di Maria est avocate à temps partiel au bureau de Montréal du cabinet Stikeman Elliott. Me Di Maria poursuit présentement ses études de maîtrise en fiscalité au HEC Montréal.

Lana Rabinovitch
Lana Rabinovitch est avocate au bureau de Montréal de Stikeman Elliott où elle pratique au sein du groupe Emploi et travail. Avant de pratiquer le droit, Me Rabinovitch a vécu, étudié et travaillé en France et à Hong Kong. Elle a également participé à des stages en développement international au Mali et en Inde.

Sylvie Thibault
Sylvie Thibault pratique dans le domaine de l'emploi et du travail. Me Thibault est également titulaire d'un baccalauréat en science politique de l'Université de Montréal et d'un certificat d'études politiques européennes de l'Institut d'études politiques de Strasbourg. Au cours de ses études, elle s'est vu décerner plusieurs prix dont la Bourse CIME de l'Agence Universitaire de la Francophonie et subvention de recherche du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada. De plus, son nom figure sur le Tableau d'honneur de la Faculté de droit de l'Université Laval.
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18 commentaires
  1. Anonyme
    Anonyme
    il y a 16 ans
    Sa pratique est axée...
    Pourquoi utiliser cette formule creuse et vide de tout sens réel lorsqu'on en est à ses premiers pas dans la profession?

    Mesdames et messieurs les "Marketeuses et Marketeux", merci d'utiliser plutôt : Elle - ou il - a joint l'équipe de droit de... ayant comme intérêt particulier...

    Ceci serait sans doute plus crédible.

    (S) Marcher avant de courir

  2. Anonyme
    Anonyme
    il y a 16 ans
    Re : Sa pratique est axée...
    > Pourquoi utiliser cette formule creuse et vide de tout sens réel lorsqu'on en est à ses premiers pas dans la profession?
    >

    > Mesdames et messieurs les "Marketeuses et Marketeux", merci d'utiliser plutôt : Elle - ou il - a joint l'équipe de droit de... ayant comme intérêt particulier...
    >
    > Ceci serait sans doute plus crédible.
    >
    > (S) Marcher avant de courir

    Probablement parce que ça évite d'avoir à changer la notice sur le site web à tout les 2 mois.

    (S) Boire avant de manger

  3. Anonyme
    Anonyme
    il y a 16 ans
    chanceux les avocats de Stikeman
    Chanceux les jeunes avocats de Stikeman au prochain party de Noel

    Malchanceux les partners qui devront gérer les congés de maternité de 9 jeunes avocates dans une même groupe d'âge.

    • Anonyme
      Anonyme
      il y a 16 ans
      Re : chanceux les avocats de Stikeman
      > Chanceux les jeunes avocats de Stikeman au prochain party de Noel
      >
      > Malchanceux les partners qui devront gérer les congés de maternité de 9 jeunes avocates dans une même groupe d'âge.

      Quel commentaire idiot. C'est une réalité, avec les femmes qui comptent désormais pour près de 60% de la communauté juridique.

    • Anonyme
      Anonyme
      il y a 16 ans
      Re : Re : chanceux les avocats de Stikeman
      > > Chanceux les jeunes avocats de Stikeman au prochain party de Noel
      > >
      > > Malchanceux les partners qui devront gérer les congés de maternité de 9 jeunes avocates dans une même groupe d'âge.
      >
      > Quel commentaire idiot. C'est une réalité, avec les femmes qui comptent désormais pour près de 60% de la communauté juridique.

      Donc, ce qu'il a dit est une réalité avec les femmes qui comptent désormais [...]. Alors en quoi est-ce idiot si c'est la réalité?

  4. Anonyme
    Anonyme
    il y a 16 ans
    Well...
    4 ou 5 de ces filles ne travailleront plus chez nous en septembre 2010. Ça doit faire presque 10 ans que ça roule comme ça.

    La maternité n'en sera pas la cause... ou alors pour au plus une d'entre elles. Si Stikeman engage tous ses stagiaires ce n'est ni pour compenser les départs à la retraite, ni pour être en phase avec l'expansion du cabinet...

  5. Anonyme
    Anonyme
    il y a 16 ans
    Très bien mais trop peu de diversité
    Il arrive dans certains cas que des personnes tout en ayant un background à l'extérieur en tant qu'avocat(e)s soient passées par des équivalences pour retrouver un statut qu'elles avaient avant. Il est dans ce cas honnête de parler de pratique plutôt que d'intérêt, y compris lorsque ces personnes ont travaillé au préalable en tant qu'étudiantes ou stagiaires dans certains domaines et s'y sont distinguées. Je note qu'au Québec il existe malgré la féminisation du métier d'avocat beaucoup de sexisme et de mysoginie si je me fie aux propos ci-dessus.
    Mais ce que je déplore le plus c'est bien entendu l'absence de diversité comme on pourrait en voir dans les cabinets américains ou ontariens. les grands cabinets montréalais se doivent de donner l'exemple, mais ils sont trop en retard! C'est tellement criant et dommage et enlève en outre un certain attrait pour les avocats qui sont fiers de cultiver cette diversité.

  6. Anonyme
    Anonyme
    il y a 16 ans
    Re : Très bien mais trop peu de diversité
    > Il arrive dans certains cas que des personnes tout en ayant un background à l'extérieur en tant qu'avocat(e)s soient passées par des équivalences pour retrouver un statut qu'elles avaient avant. Il est dans ce cas honnête de parler de pratique plutôt que d'intérêt, y compris lorsque ces personnes ont travaillé au préalable en tant qu'étudiantes ou stagiaires dans certains domaines et s'y sont distinguées. Je note qu'au Québec il existe malgré la féminisation du métier d'avocat beaucoup de sexisme et de mysoginie si je me fie aux propos ci-dessus.
    > Mais ce que je déplore le plus c'est bien entendu l'absence de diversité comme on pourrait en voir dans les cabinets américains ou ontariens. les grands cabinets montréalais se doivent de donner l'exemple, mais ils sont trop en retard! C'est tellement criant et dommage et enlève en outre un certain attrait pour les avocats qui sont fiers de cultiver cette diversité.

    À trop vouloir être politically correct, on qualifie de «mysogines» des commentaires qui, au fond, ne relatent que la pure réalité. C'est ridicule.

    Même si la profession se féminise, les filles restent un «risque» plus grand que les gars pour les associés-directeurs... la matrenité n'est pas la cause principale, mais souvent le désir d,avoir plus de temps pour soi-même et des considérations connexes.

  7. Anonyme
    Anonyme
    il y a 16 ans
    Me
    C'est complètement idiot et illogique de prétendre que la féminisation de la profession est, en soi, la preuve que ces commentaires que certains jugent mysogines n'ont plus leur place. C'est confonre cause et effet.

    La profession de féminise simplement parce que les employeurs n'ont pas le choix... ils ont a piger parmi un "pool" d'étudiants dont 70% sont des femmes.

    Ces commentaires sont justifiés et non, ils ne sont ni sexistes ni mysogines.

    • Anonyme
      Anonyme
      il y a 16 ans
      Re : Me
      Les employeurs n'ont pas le choix?!!? à t'entendre parler j'ajouterais qu'ils n'ont pas non plus le choix aujourd'hui que de prendre des francophones, et ainsi de suite.. Tu te rends compte de l'absurdité de tes propos! Nous ne sommes plus à l'époque où la place des femmes était au fourneau. Elle ne l'est plus dans beaucoup de grands pays occidentaux, ni en Ontario, il serait tant qu'au Québec les avocatus prennent une formation éclaire pour se hisser au niveau de leurs pairs pour ce qu'il est de cette façon de penser. Si les couples décident de ne pas concentrer leur vie que sur le travail, cela me semble sain et promet d'en faire des couples équilibrés . Ce qui semble faire défaut à ce que j'entends. En outre persister à raisonner ainsi me laisse penser que si certains conservateurs s'inquiètent de voir des femmes prendre du terrain dans cette fonction, alors je préfère ne même pas savoir que diraient-ils de personnes plus colorées.



      > La profession de féminise simplement parce que les employeurs n'ont pas le choix... ils ont a piger parmi un "pool" d'étudiants dont 70% sont des femmes.
      >
      > Ces commentaires sont justifiés et non, ils ne sont ni sexistes ni mysogines.

  8. Anonyme
    Anonyme
    il y a 16 ans
    Get a life...
    L'industrie des services juridiques est mûre pour une mise à jour de certaines (la majorité) de ses pratiques.

    Certains des "commenataires" sur le présent sujet font réfléchir sur les valeurs de leurs auteurs.

    Bravo à tous ceux et surtout celles qui ne font pas de la réussite professionnelle leur seul but dans la vie.

    (S) Devenir un meilleur Homme (le masculin qui embrasse le féminin)

  9. Anonyme
    Anonyme
    il y a 16 ans
    Re : Get a life...
    > L'industrie des services juridiques est mûre pour une mise à jour de certaines (la majorité) de ses pratiques.
    >
    > Certains des "commenataires" sur le présent sujet font réfléchir sur les valeurs de leurs auteurs.
    >
    > Bravo à tous ceux et surtout celles qui ne font pas de la réussite professionnelle leur seul but dans la vie.
    >
    > (S) Devenir un meilleur Homme (le masculin qui embrasse le féminin)

    Dans ce cas là, c'est hautement hypocritque que d'appliquer chez Stike que pour y passer quelque temps dans le but que ça soit bien vu sur le C.V. Ça fourre le cabinet qui a du s'adapter en embauchant bcp plus de stagiaires que nécessaires à sa croissance et ça bloque les places des gens qui veulent vraiment travailler.

    • Anonyme
      Anonyme
      il y a 16 ans
      Grow up
      > Dans ce cas là, c'est hautement hypocritque que d'appliquer chez Stike que pour y passer quelque temps dans le but que ça soit bien vu sur le C.V. Ça fourre le cabinet qui a du s'adapter en embauchant bcp plus de stagiaires que nécessaires à sa croissance et ça bloque les places des gens qui veulent vraiment travailler.

      Avec respect, votre commentaire démontre la faiblesse de vos habilités... Le raisonnement de l'auteur de "Get a Life" me semblent s'appliquer à tous les cabinets.

      Vous démontrez l'inverse, que ce qui vous importe est le prestige d'un cabinet ("Stike").

      (S) Le bonheur est dans le pré

  10. Anonyme
    Anonyme
    il y a 16 ans
    Bof
    La fille se fait sé séduire par le prestige de Stike pour ensuite battre en retraite et vouloir une vie... On doit respecter la philosophie d'un cabinet qui n'adhère fondamentallement pas au "Get a life" et ne pas y appliquer dès le début.

  11. Anonyme
    Anonyme
    il y a 16 ans
    Re : Bof
    > La fille se fait sé séduire par le prestige de Stike pour ensuite battre en retraite et vouloir une vie... On doit respecter la philosophie d'un cabinet qui n'adhère fondamentallement pas au "Get a life" et ne pas y appliquer dès le début.

    C'es vrai ça. Dans la course aux stages, je dirai qu'il y a 1 fille sur 3 qui applique et réussit dans un grand cabinet avec la ferme intention de ne pas y rester plus que 1-2 ans (stage compris). À cela s'ajoutent d'autres qui découvrent la vocation de "the life" sur le parcours. Évidemment, elles livrent une version enièrement différente en entrevue.

    Chez les g, ça existe aussi.

  12. Anonyme
    Anonyme
    il y a 16 ans
    Re : Get a life...
    > L'industrie des services juridiques est mûre pour une mise à jour de certaines (la majorité) de ses pratiques.
    >
    > Certains des "commenataires" sur le présent sujet font réfléchir sur les valeurs de leurs auteurs.
    >
    > Bravo à tous ceux et surtout celles qui ne font pas de la réussite professionnelle leur seul but dans la vie.
    >
    > (S) Devenir un meilleur Homme (le masculin qui embrasse le féminin)

    Ces valeurs rétrogrades sont exactement les mêmes auxquelles toutes ces filles ont acquiescé en entrevue et pendant les cocktails!

  13. Anonyme
    Anonyme
    il y a 15 ans
    Séduire les associés voilà ce que font les filles durant la cour au stage
    Séduire les associés voilà ce que font les filles durant la cour aux stages !!!

    Pas de décolleté pour nous...

  14. Anonyme
    Anonyme
    il y a 15 ans
    Femmes et la plupart de l'université de sherbrooke !
    Femmes et la plupart de l'université de sherbrooke !

    Pourquoi??? hum....
    parce que celle qui est présidente du programme de recrutement à montréal s'Appelle Michèle Denis et est une femme et comme par hasard a gradué de l'UdeS....

    Coincidence, yeah right!

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