Une nouvelle associée chez Bélanger Sauvé
Céline Gobert
2016-04-25 08:30:00
Ce qui l’a conduite à cette nomination, c’est son implication auprès de la clientèle ainsi que dans les activités du bureau. « Je ne me suis pas seulement contentée de faire mes heures, dit-elle. Par exemple, j’ai écrit des articles, fait rayonner le nom du bureau ou encore je me suis impliquée dans des comités à l’interne. »
Membre de la section Droit administratif du cabinet, Me Burelle pratique en droit municipal, droit administratif et droit environnemental. Elle représente des clients institutionnels devant différentes instances tels le Tribunal administratif du Québec, en évaluation foncière et en expropriation, ou encore la Commission municipale du Québec, en matière d’exemptions fiscales, et les tribunaux de droit commun, où elle agit principalement en matière d’urbanisme.
Elle est par ailleurs une spécialiste du domaine de l’expropriation.
Deux objectifs
Me Burelle, qui dit aimer la diversité de ses mandats et le fait qu’aucune de ses journées ne soit semblable à l’autre, a désormais deux objectifs. Le premier est de s’investir dans le développement d’une clientèle propre après s’être jusqu’ici concentrée sur le développement de la clientèle existante. « Pour les femmes, c’est un élément qui peut être plus difficile, confie-t-elle. Je veux me concentrer là dessus, pour moi, mais aussi pour aider les autres avocates du cabinet. »
Un autre dossier au coeur de ses priorités? Celui de la rétention des avocates. Une problématique inhérente aux grands bureaux selon elle. « Je veux que les avocates sachent que je suis là pour les écouter si elles rencontrent des problèmes. Elles peuvent s’adresser à moi. »
Titulaire d’une Maîtrise en Common Law nord-américaine (2008) de l’Université de Montréal, d’un Baccalauréat en droit de l’UdeM (2004) et diplômée en études supérieures spécialisées en Common Law nord-américaine (2006), elle est membre du Barreau du Québec depuis 2005.
Ses travaux de recherche ont porté sur les revendications territoriales autochtones. Elle est membre de l’Association québécoise de droit constitutionnel et agit à titre de formatrice et de conférencière depuis le début de sa carrière.