Un Espace Bien-être psychologique pour les avocats
Florence Tison
2020-05-08 13:15:00
L’initiative comprend des informations pour aider à améliorer ou maintenir la santé psychologique des avocats, des témoignages de juristes sous forme de capsules vidéo, et des billets d’experts en psychologie ou en neurosciences.
Les avocats Me Myriam Couillard du Bureau d’aide juridique de Longueuil, et Me Guillaume Blais de BLG ont notamment participé à une capsule pour aider les juristes à contrôler l’anxiété.
« Je dirais que j’ai frappé un mur quand je été acceptée à McGill, témoigne Me Couillard. Je suis tombée dans l’anorexie et je suis devenue très, très malade, au point où mes parents m’ont dit “ Tant que tu ne te feras pas traiter, tu ne pourras pas déménager à Montréal et entreprendre ces études-là ”. »
« Plus j’en parle, plus je ressens un peu une force là-dedans, d’être un leader positif, poursuit l’avocate. J’essaie de rendre cette peur-là positive. Une fois qu’on a arraché le Band-Aid, on se sent mieux. »
L’Espace Bien-être psychologique, qui vise à « briser les tabous et l’isolement » propose en outre des liens « pour traverser la pandémie de la COVID-19 ».
Anonyme
il y a 4 ans"Je dirais que j’ai frappé un mur quand je été acceptée à McGill, témoigne Me Couillard. Je suis tombée dans l’anorexie"
Peut-être était-ce le stress de devoir déménager et de vivre à Montréal toutes dépenses payées?
Comme beaucoup de gens, quand je été acceptée en droit (ailleurs qu'à l'UQAM, si ça peut en rassurer certain), j'en ai viré une tab*rn*k pendant une semaine, avec mes amis.
Ensuite j'ai diminué un peu, mais j'étais quand même sur un régime de "gros party", jusqu'à la fin de l'été.
Puis, quand l'école a commencée, je me suis mis à étudier convenablement, en faisant le party une fois de temps en temps, et tout c'est bien passé.
Avocat
il y a 4 ansUne réponse digne d'un bon vieux psychopathe ... quoi dire de plus.
Anonyme
il y a 4 ansLorsqu'il est question de faire des capsules sur le bien être psychologiques à l'attention des avocats, quelle est la crédibilité d'une personne de moins de 30 ans (ou aux environs de cette âge) qui a vécu un "stress de début des classes", alors que son père multimillionaire (entre autre...) a payé ses études?
Des capsules de ce genre devraient être faites par des avocats dont le parcours a été objectivement très éprouvant, et qui on réussi à s'en sortir.
Anonyme
il y a 4 ansLa détresse psychologique n'a aucun rapport avec le fait qu'une personne ait plus ou moins que 30 ans ou que son père ait ou non payé ses études.