Une nouvelle clinique juridique militante à Montréal Nord
Delphine Jung
2020-09-30 12:00:00
« On va offrir des consultations gratuites par des bénévoles, majoritairement des étudiants en droit, explique la fondatrice Me Marie-Livia Beaugé, dans le journal ''Métro''. Que ce soit sur du droit de l’immigration, du droit criminel, du droit de la famille. »
Les consultations seront offertes sur rendez-vous, mais il sera tout de même possible de venir à la clinique sans rendez-vous une journée par semaine.
Une trentaine de bénévoles étudiants et étudiants travailleront dans cette clinique, donc une 20 auront une formation en droit. Les étudiants en droit viennent de l'UQAM, de l'Université de Sherbrooke et de l'Université de Montréal pour le moment. Mais Mme Beaugé a confié à Droit-inc qu'un lien se travaille avec McGill.
La clinique se veut aussi ouvertement engagée et militante. « On prend position, et la position est pour la communauté et pour les personnes en situation de minorité, racisées, discriminées de manière systémique », explique la coordonnatrice et étudiante en droit, Aïda Belmkaddem, toujours dans le journal Métro.
Pour ce faire, la clinique compte collaborer avec des organismes communautaires du quartier. Elle sera installé dans les locaux de Hoodstock, au 3830 boul. Henri Bourassa Est.
Stan
il y a 4 ansConsultations juridiques dispensées par des étudiants?
N’y a t’il pas un problème d’acte réservé?
Aussi, ce n’est pas le rôle du gouvernement de financer des jobs avec un tel organisme. Les fondateurs ont eu besoin de l’état pour se créer une job.
Anonyme
il y a 4 ansLes consultations se limiteront à la transmission d'informations juridiques vérifiées au préalable par des avocat.e.s.
La Clinique n'a reçu aucun financement du gouvernement. Les gens qui y travaillent le font bénévolement.
Anonyme
il y a 4 ans« On prend position, et la position est pour la communauté et pour les personnes en situation de minorité, racisées, discriminées de manière systémique »
"...un lien se travaille avec McGill."
Elle finira juge au Tribunal des droits de la personne, ou peut-être même à la C.S. !
Pigeon dissident
il y a 4 ansEt pourquoi pas ?
Anonyme
il y a 4 ansUne approche du droit s'appuyant sur des les préssuposés des militants gauchistes actuels ne peut pas être bonne pour la société.
On voit ce que ça donne aux États-Unis, en particulier avec cette District Attorney dont la campagne électorale a été subventionnée par Soros (et ce n'est pas la seule), et qui une fois en poste a exercé sa discretion administrative pour laissez filer les voyoux (au nom de lutte antiraciste en faveur des "minorités systémiquement racisées"), et poursuivre ses opposant politiques.