Des champions du droit de l’immigration !
Sophie Ginoux
2023-01-12 15:00:00
Ces deux volets sont cependant loin de résumer tout ce que réalise Me Brunet, dont l’amour pour le sport est tel qu’il est devenu une des sommités mondiales de l’arbitrage dans la division des dopages. Il est arbitre neutre pour le Centre de règlement des différends sportifs du Canada (CRDSC) à l’échelle nationale, ainsi que pour le Tribunal Arbitral du Sport (TAS) au niveau international.
Et comme si ce n’était pas assez, il trouve également le temps d’enseigner comme chargé de cours à l’école de gestion de l’Université de Sherbrooke, d’orchestrer la boîte de production Podium (elle organise des événements de grande envergure mêlant le sport de haut niveau et les arts), de mentorer de jeunes entrepreneurs au sein du programme Futurpreneur Canada de la BDC… et même de participer à des triathlons !
Mais où Me Patrice Brunet trouve-t-il la force d’accomplir tout cela ? La passion, bien sûr, mais aussi toutes les valeurs associées au sport, qu’il partage avec les membres de son cabinet.
L’immigration, c’est du sport !
Une des principales expertises du cabinet Patrice Brunet avocats se trouve en immigration d’affaires. Bref, le sujet de l’heure si l’on suit un peu l’actualité, tant le manque de main-d’œuvre est conséquent dans plusieurs secteurs d’activité, et les démarches pour recevoir des travailleurs étrangers laborieuses.
« Les entrepreneurs qui nous contactent sont surpris par la complexité des demandes d’immigration économique, explique l’avocat. En tant que citoyens canadiens, nous n’avons en général qu’à faire refaire notre passeport aux 10 ans, et nous avons droit aux erreurs. Mais c’est tout à fait autre chose en matière d’immigration d’affaires ! Il y a en moyenne trois ministères impliqués, des dossiers volumineux à constituer, des multitudes de lois et de normes à respecter. Ça prend un vrai chef d’orchestre pour maîtriser tout cela. »
De nombreux chefs d’entreprise, ainsi que des cabinets référents, se tournent donc naturellement vers Me Brunet et son équipe pour faciliter et accélérer l’émission de permis de travail ou l’octroi de résidences permanentes dans toutes les sphères, du domaine pharmaceutique au manufacturier, en passant par les technologies de l’information, l’énergie, le sport, ou encore les arts.
Comme le confirme l’avocat, « Nous pouvons aussi bien nous occuper du dossier d’immigration d’un chimiste indien, que de visas temporaires pour un groupe de travailleurs en manutention spécialisée ou d’artistes étrangers en tournée au Québec. Il peut aussi s’agir de cas plus épineux, comme l’obtention d’une résidence permanente pour un entrepreneur qui vit depuis plus de 20 ans au Canada sans avoir fait de demande de citoyenneté, ou encore des réfugiés employés menacés d’expulsion. Et évidemment, tous ces cas de figure sont à traiter en urgence, ce qui nous pousse à trouver très rapidement des solutions personnalisées et créatives. »
D’ailleurs, quelques jours (et nuits) du dernier temps des Fêtes ont été bien occupés pour deux avocats du cabinet, qui ont réussi l’exploit de décrocher une licence nationale pour un club de sport régional en moins de trois semaines. On comprend donc le degré d’excellence, d’initiative, de détermination, d’esprit d’équipe, mais aussi d’empathie et de dévouement nécessaire pour travailler au sein du cabinet Patrice Brunet avocats… des qualités humaines autant que sportives que possèdent tous les avocats qui y gravitent.
Une relève très talentueuse et épanouie
Me Patrice Brunet compare souvent les quatre membres de son équipe d’avocats à des athlètes olympiens. Et il n’est pas si loin de la vérité, car ils sont individuellement tous jeunes, dynamiques, sportifs et passionnés. Mais ils ont aussi des forces, des compétences et des intérêts complémentaires qui font d’eux un groupe redoutablement efficace.
« Ce sont des personnes allumées, travaillantes, dont la jeunesse nous pousse à penser autrement. J’adore ça ! » dit Me Brunet, que ces mêmes jeunes avocats considèrent à l’inverse comme un grand mentor et un patron soucieux de leur épanouissement personnel.
À commencer par Me Vincent Dubuc-Cusick, un autre mordu de sports, qui a de lui-même frappé à la porte de l’arbitre en 2019 pour travailler avec lui.
« Mon expertise première est en droit des affaires, indique-t-il, mais les principes qui le guident – contrats de travail ou de services, conventions d’honoraires, etc – se traduisent facilement dans le droit de l’immigration. » Me Dubuc-Cusick s’intéresse aussi beaucoup au droit du sport, une spécialité dans laquelle son directeur le laisse se former pleinement.
« Patrice ne nous limite jamais et nous pousse à nous challenger. C’est un mentor extraordinaire, à la fois professionnellement et personnellement » dit-il.
Un avis partagé par Me Simon De Andrade, membre du Barreau 2020 et auparavant stagiaire du cabinet. Au quotidien, Me De Andrade traite lui aussi des demandes d’immigration économique temporaires ou permanente, mais il a une petite préférence pour les projets de grande envergure, tant en termes de volume que d’échéanciers.
« Par exemple, raconte-t-il, j’ai l’été dernier réussi en huit semaines à obtenir les permis de travail de toute l’équipe d’artistes et de techniciens de la comédie musicale Notre dame de Paris. Évidemment, je n’avais pas droit à l’erreur, mais c’est le genre de défi sous pression que j’adore relever ! » Et pour cause, puisque cet avocat est aussi, parallèlement à sa pratique, très impliqué dans le club CF Montréal à titre d’entraîneur pour les programmes de développement !
« Le fait que le cabinet me laisse conjuguer mes passions pour le droit et le sport, c’est une belle marque de confiance que j’apprécie énormément », avoue-t-il du même souffle que son collègue Me Kevin Robertson. Qu’est-ce qui distingue ce dernier ? C’est tout d’abord le plus jeune élément du cabinet, puisqu’il n’a obtenu son Barreau qu’en 2022. Mais c’est aussi un athlète accompli, membre de l'équipe nationale en athlétisme et aux ambitions olympiennes.
« J’ai beaucoup de chance de faire partie d’un cabinet qui me soutient dans mes entraînements exigeants et qui me permet de financer ce volet important de ma vie » indique l’avocat qui, en retour, trouve toujours des solutions efficaces pour optimiser le processus des demandes de permis de travail.
Enfin, il ne faut pas passer outre la dernière avocate arrivée au sein du cabinet, Me Rosalie Caillé-Lévesque. Adepte de la course, mais surtout experte en relations internationales et en droit international, cette jeune femme qui a déjà travaillé dans des dossiers de plaintes devant le comité des droits de l’homme de l’ONU, ainsi que dans des causes en droit de la personne pour obtenir la régularisation ou la conservation d’un statut d'immigration au Canada, constitue un atout de poids.
« J’adore le défi intellectuel que représente le droit de l’immigration, avoue-t-elle. Les théories du droit, la contestation des décisions. C’est délicat et exigeant, mais c’est passionnant. J’apprends également beaucoup auprès de mes collègues, on se complète bien. »
Me Caillé-Lévesque a, elle aussi, trouvé au sein du cabinet Patrice Brunet avocats un allié inconditionnel pour se développer personnellement, puisqu’elle complète actuellement des études au programme de Juris Doctor en common law nord-américaine. Il faut donc saluer l’équipe de choc, hors de l’ordinaire peut-être, mais d’un talent fou, que Me Patrice Brunet a réussi à réunir autour de lui en droit de l’immigration.
C’est simple, rien n’est à son épreuve !
Anonyme
il y a un ança frappe de voir un tel article le jour même ou sort une nouvelle annonçant que "68% des Québécois veulent la fermeture du chemin Roxham, selon un sondage"
https://www.journaldequebec.com/2023/01/12/68-des-quebecois-veulent-la-fermeture-du-chemin-roxham
Les dossiers d'immigration d'affaire et de permis de travail pour professionnels très spécialisé, c'est sûrement payant et juridiquement intéressant, mais ils doivent être assez minoritaires.
La majorité des dossiers, c'est quoi?
- Des migrants Roxhamiens, complètement au bout du rouleau économiquement.
- Des "smattes" qui font la navette périodiquement entre l'amérique latine et le Canada, afin de venir travailler illégalement. Ils savent qu'ils vont se faire expulser, acceptent ce sort, et le cycle recommence quelque mois plus tard. Cette clientèle ne doit pas mettre beaucoup d'efforts dans leur dossier juridique, à part pour faire trainer les choses en longueur.
- Des candidats à l'immigration légale, qui se font niaiser par la bureaucratie canadienne pendant des années et qui risquent l'échec pour des pécadilles. Ceux-là non plus ne roule pas sur l'or, la plupart du temps.
- Des candidats à l'immigration "arrangée avec le gars des vues", souvent sous la forme de mariages bidons (une véritable industrie).
- Des candidats au regroupement familial, pour ceux dont les proches ont réussis le parcour du combatant.
En plus, dans les dossiers de la clientèle ordinaire les avocats doivent affronter la concurence venant de conseils-escrocs qui ne sont même pas avocat.
Le droit de l'immigration, c'est intéressant pour quel pourcentage des avocats travaillant dans ce domaine?