Recours collectifs
Recours collectif contre Bayer
L'équipe Droit-Inc
2009-10-06 08:30:00
Deux Québécoises viennent de déposer au palais de justice de Québec une requête en recours collectif contre la pharmaceutique Bayer Corporation, rapporte Canoë.
Les requérantes allèguent que le médicament le Trasylol «présente notamment des risques sérieux d'événements cardio-vasculaires ou cérébraux vasculaires, d'insuffisance rénale ou de décès».
Constance Ramacieri, de Montréal, affirme que son conjoint est décédé durant l'intervention chirurgicale au cours de laquelle le Trasylol lui a été administré, en 2004. La corequérante, Nicole Laporte, de Pointe-aux-Trembles, affirme avoir développé des problèmes cardiaques, en plus de devoir subir une angioplastie rénale, après avoir reçu du Trasylol lors d'un pontage aorto-coronarien, en 2004.
Le Trasylol a été retiré du marché par Bayer au printemps 2008. Santé Canada, qui avait approuvé ce médicament à l'automne 1995, a demandé à Bayer de suspendre sa commercialisation au pays dès novembre 2007, selon la requête.
«En tout temps pertinent, Bayer savait ou devait savoir que l'utilisation du Trasylol pouvait entraîner des complications graves nécessitant un traitement à vie ainsi que des effets secondaires», écrivent les avocats du cabinet Siskinds Desmeules, procureurs des requérantes.
Constance Ramacieri, de Montréal, affirme que son conjoint est décédé durant l'intervention chirurgicale au cours de laquelle le Trasylol lui a été administré, en 2004. La corequérante, Nicole Laporte, de Pointe-aux-Trembles, affirme avoir développé des problèmes cardiaques, en plus de devoir subir une angioplastie rénale, après avoir reçu du Trasylol lors d'un pontage aorto-coronarien, en 2004.
Le Trasylol a été retiré du marché par Bayer au printemps 2008. Santé Canada, qui avait approuvé ce médicament à l'automne 1995, a demandé à Bayer de suspendre sa commercialisation au pays dès novembre 2007, selon la requête.
«En tout temps pertinent, Bayer savait ou devait savoir que l'utilisation du Trasylol pouvait entraîner des complications graves nécessitant un traitement à vie ainsi que des effets secondaires», écrivent les avocats du cabinet Siskinds Desmeules, procureurs des requérantes.
31797
Me
il y a 15 ansSiskinds... toujours en train de foutre la merde. Ils poursuivent toujours à Québec: c'est normal, ils sont là et ils ont parfaitement le droit sauf que ça force toujours les défendeurs à faire déplacer leurs avocats Montréalais à fort coût dans le district de Québec pour des poursuites qui tombent souvent à l'eau. Disons que perdre son temps dans la capitale est pas vraiment le fun. Par ailleurs il y a des motifs certains pour lesquels Siskinds n'a pas ouvert de bureau à Montréal. La communauté juridique en rirait :)
anonyme
il y a 15 ans> Siskinds... toujours en train de foutre la merde. Ils poursuivent toujours à Québec: c'est normal, ils sont là et ils ont parfaitement le droit sauf que ça force toujours les défendeurs à faire déplacer leurs avocats Montréalais à fort coût dans le district de Québec pour des poursuites qui tombent souvent à l'eau. Disons que perdre son temps dans la capitale est pas vraiment le fun. Par ailleurs il y a des motifs certains pour lesquels Siskinds n'a pas ouvert de bureau à Montréal. La communauté juridique en rirait :)
haha... Québec, Québec... pour quelqun qui descend toujours au Germain-Dominion lorsquil a à plaider à Québec, à ta place je m'en plaindrait pas... ou c'est la ride de deux-trois heures dans ta Range Rover Sport qui te fatigue? :P
salutations, mon pote :P