Le Droit de Savoir
L'équipe Droit-inc
2009-09-14 11:15:00
"Les gens ont soif d'information juridique qui explique simplement nos droits et nos obligations", explique l'ancien bâtonnier du Barreau du Québec, Me J. Michel Doyon c.r., Ad. E., qui est à l'origine de l'idée de cette série et qui a su mobiliser plus de 50 juristes de renom pour participer à l'émission.
"Nous étions en train d'élaborer une programmation nouvelle pour le Canal Savoir et nous trouvions important d'y intégrer une émission sur le droit qui donne des outils aux citoyens, explique Mme Michèle Fortin, présidente et directrice générale de Télé-Québec. Le projet du bâtonnier Doyon tombait donc à point."
Des réponses à de vraies questions!
De l'union de fait au mariage, quelles sont les implications juridiques ? Comment contester une contravention quand vous êtes convaincu d'avoir un motif pour le faire ? Quel est l'ABC, au plan juridique, du démarrage d'une entreprise ? Qu'est ce qu'un mandat d'inaptitude ? Quel est le rôle d'un juge, d'un huissier, d'un journaliste judiciaire ? Toutes ces questions et des dizaines d'autres sont au menu de la série "Le Droit de savoir". Tour à tour, des juges, des avocats et d'autres intervenants tels que des architectes, des journalistes et des professeurs viennent au petit écran pour renseigner, informer et, surtout, démythifier des notions de droit présentes dans notre vie de tous les jours.
Un imposant groupe d'artisans !
"Le Droit de savoir" a pu compter sur le savoir-faire du réalisateur Michel Fenollar, récipiendaire d'un prix Gémeaux, et sur la collaboration de l'organisme sans but lucratif de vulgarisation juridique, Éducaloi, qui a pris part au développement et à l'élaboration de certains contenus du magazine.
La série est animée par Isabelle Marjorie Tremblay. Détentrice d'un baccalauréat en droit et diplômée de l'École du Barreau, Isabelle Marjorie Tremblay a participé au fil des ans à de multiples émissions diffusées sur les chaînes VRAK TV, RDI, TV5, TVA et Radio-Canada à titre de reporter, animatrice ou chroniqueur.
Anonyme
il y a 15 ansJe suis tellement content que nos cotisations PROFESIONNELLES servent à cela. Cela n'explique en RIEN le fait que le Barreau réalise des DÉFICITS.