Un avocat quitte de Grandpré Chait parce que les mandats le concernant manquaient, dit-il. Aujourd’hui, il croule sous les dossiers chez BCF. Il raconte tout à Droit-Inc…
Me Ouassim Tadlaoui n’est pas resté longtemps chez de Grandpré Chait. Un an au total.
D’ailleurs, initialement, il n’a pas quitté de Grandpré pour venir chez BCF, mais parce que chez de Grandpré, le travail manquait.
« Ils ont du se départir de mes services parce qu’il n’y avait pas assez de mandats me concernant. Ce qui n’empêche pas le cabinet de rayonner par ailleurs », explique-t-il.
L’industrie de toute façon, dans le domaine des faillites, est par essence très cyclique, que ce soit chez de Grandpré ou ailleurs.
« Parfois on est très occupé… mais quand c’est mort, c’est mort! »
Me Ouassim Tadlaoui, nouveau membre de l’équipe de litige commercial depuis deux semaines chez BCF.C’est donc le 20 février dernier que ce quadrilingue exerçant en litige commercial laisse derrière lui les temps morts et l’inactivité.
Ses spécialités ? Faillite et insolvabilité, droit de la construction, responsabilité civile et professionnelle ainsi que litige bancaire.
« Ce qui est bien chez BCF c’est que les juniors, ou les avocats intermédiaires comme moi, ne sont pas confinés à un seul associé. Et là, il y a pas mal de boulot, on ne chôme pas ! »
L’équipe aussi, très « fun », dirigée par Me Jean-François Dagenais finit de le convaincre de rejoindre le cabinet.
Une équipe plein de dynamisme qui a su séduire ce plaideur de cinq ans d’expérience.
« Le bureau au complet, d’ailleurs, est très dynamique, tant en ce qui concerne la recherche de clientèle que la qualité des dossiers. C’est cela qui m’a le plus frappé. »
Membre de l’équipe de litige commercial depuis deux semaines donc, l’avocat pratique aussi au sein des équipes de construction, infrastructure et approvisionnement et de faillite, restructuration et insolvabilité.
Il représente et conseille des propriétaires, entrepreneurs, sous-traitants ainsi que des entreprises nationales et internationales dans tous les domaines de l’industrie de la construction mais aussi dans des cas de faillite ou de restructuration.
Aussi, il participe à la préparation des dossiers de litige et est appelé à plaider devant toutes les instances judiciaires du Québec.
« Ces dix dernières années, BCF a effectué une ascension et une progression incroyables. Le bureau est devenu un incontournable sur la scène québécoise », déclare-t-il, ravi d’avoir rejoint le navire.
Sa mission désormais ? « Progresser dans ma vie, et chez BCF. »
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