Super Samet rejoint une super équipe

« Ce que je trouve extraordinaire, déclare Me François-Xavier Simard du haut de ses 67 ans, c’est de rejoindre tous les jours à 6h30 une équipe plein d’enthousiasme, de projets, consciente du développement en train de se faire, et de la sérénité dans laquelle cela se fait. J’ai l’impression d’être tombé dans le monde du futur, c’est revigorant. Je n’ai pas le sentiment d’avoir l’âge que j’ai ! »

Il faut dire que les choses ont plutôt bien suivi leur cours depuis ce 31 décembre 2011 où l’avocat quitte Jolicoeur Lacasse pour poursuivre, avec Welch Bussières, un nouveau rêve : celui de constituer un cabinet boutique tourné vers l’Europe et l’accord économique et commercial global.

Depuis le 1er janvier, Welch Bussières compte d'ailleurs dans ses rangs un nouvel avocat qui cadre tout à fait avec cet objectif: Gérard Samet, ce français débarqué au Québec il y a quelques années, mieux connu des lecteurs de Droit-inc.com sous le surnom de Super Samet. Me Samet a quitté Astell Lachance en décembre.

Welch Bussières, explique Gérard Samet, possède une vision particulière : développement vers l’Europe, accompagnement et partenariat avec les clients à vocation internationale et européenne.

« Me Simard savait ce que je faisais, et lorsqu’il a rejoint le cabinet le printemps dernier, il m’a demandé de le suivre le plus tôt possible, chose que j’ai faite dès le 1er janvier dernier. »

Lui, exerce principalement en litige. Mais s’il a été choisi, au-delà de sa colossale expérience et de ses nombreux champs d’expertise, c’est pour développer la clientèle de l’Allemagne.

« Les clients allemands ne connaissent pas le Québec, confie Me Samet. J’aimerais aider les Québécois à aller en Europe et inversement. Cela peut passer par les chambres de commerce, la délégation du Québec en Bavière ; leur vocation est de développer le marché des PME. Aujourd’hui, il y a surtout Bombardier, Siemens qui font du business mais les grosses entreprises vont très peu en Allemagne. »

Avant tout, l'ancien reporter d'investigation souhaitait s’occuper de grands litiges, avec une certaine difficulté intellectuelle.

« Vous savez, je suis un homme de contentieux, avec une mentalité contentieux-négociation. J’aime m’occuper de dossiers sensibles comme l’affaire des producteurs de porcs en litige avec la Financière agricole, ou celle des garderies privées au Québec. »

Une arrivée au sein d’une équipe de « professionnels multilingues, multijuridictionnels, mobiles, actifs, expérimentés », dit-il, saluée par ses collègues.

Un atout de taille

« Nous avons accueilli Me Samet il y a deux mois, dit Me André Binette, ravi de viser le développement international avec « un avocat de ce niveau ».

« Il amène à la fois ses connaissances de pratique en France et au Québec, sa connaissance de la langue allemande, ses liens avec l’Europe », confie-t-il, enthousiaste.

« Me Samet nous appuie considérablement, ajoute quant à lui Me Marc Leclerc. Il connaît très bien la communauté française de Montréal et possède un point de vue très différent du nôtre sur la façon dont fonctionne et réfléchisse ces gens »

En outre, dit-il, sa longue expérience en matière de litige, et devant les tribunaux québécois, contribue de façon significative à l’essor du cabinet.

Me Simard, lui, le connaît depuis plusieurs années.

« Je lisais son travail de journaliste et le trouvais intéressant. Il a repris tout le cursus de droit au Québec, pas simplement une équivalence mais le cursus de A à Z, je trouvais cela méritoire. Puis, il possède une connaissance du terrain exceptionnelle »

« Sur le plan personnel, Me Samet est une personne agréable à côtoyer, un homme positif, plein d’optimisme », dit Me Vincent Routhier, qui a lui-même fait son entrée chez Welch Bussières tout récemment, le 1er décembre dernier.

Pour cette équipe soudée, comme nous l’affirme Me Samet, il ne s’agit pas moins que de porter collectivement des projets, là où les clients rencontrent une difficulté, ou souhaitent gérer une problématique.

« Nous ne sommes pas des avocats classiques mais de véritables porteurs de projets ! », lance l'ex-journaliste d'investigation.

Début mars, le cabinet va d’ailleurs accueillir, au sein de son équipe de Montréal, une jeune avocate qui arrive tout droit de Paris. La preuve que le cabinet boutique n’en a pas fini de grandir.

« Nous serons 23 à 24 professionnels en mars prochain, 25 à 26 dans les semaines qui suivront, et qui sait ce que nous réserve l’avenir ? Nous avons suivi notre plan de match en tout cas », conclut Me Simard, ravi.

Le contentieux français expliqué par Super Samet :



Une des grandes enquêtes de Super Samet :



Super Samet en action: