Des étudiants obtiennent la plus haute distinction à l’édition internationale de la simulation des Nations-Unis, des professeurs représentent le Canada en Belgique… Ça bouge dans les facs!
À l’UQÀM
Andréanne Comeau AubéFin novembre dernier, la ville de Kobe (Japon) accueillait l’édition internationale de la simulation des Nations-Unies. L’occasion pour la délégation étudiante de la Faculté de science politique et de droit de l’UQÀM d’obtenir une nouvelle fois la plus haute distinction.
Andréanne Comeau Aubé (B.A. communication, politique et société, 2016), de la maîtrise en science politique, Charline Robert-Lamy (B.A. communication, politique et société, 2016), de la maîtrise en études féministes, Sandrine Dessureault (LL.B., 2015), Marjolaine Lamontagne, du baccalauréat en relations internationales et droit international, et Sarah Gouin (B.A. relations internationales et droit international, 2015), de la maîtrise en droit international se sont ainsi vues remettre l’Outstanding Delegation. Quatre autres prix leur ont également été remis.
À noter que c'est la première fois qu'une délégation de l'UQAM remporte autant de prix à la NMUN World.
Pendant ce temps, la professeure Cathy Wongrecevait le prix de la relève du conseil des diplômés pour son implication citoyenne. Ainsi que l’indique le site de l’UQÀM, ce prix est remis à un diplômé de la Faculté depuis moins de 10 ans pour marquer son action citoyenne et son parcours professionnel.
La professeur Blanckett a rédigé plusieurs ouvrages portant sur le droit du travail transnational. Elle enseigne le droit du travail et de l'emploi, la réglementation du commerce, le droit et le développement, la théorie critique raciale ainsi que l'esclavage et le droit.
À Ottawa
André BraënLe 25 novembre dernier, les professeurs André Braën et Pascale Fournier de la Section de droit civil, ainsi que Nathalie Des Rosiers, doyenne de la Section de common law, ont représenté l’Université d’Ottawa au colloque international « État et Religions » organisé par l’Université catholique de Louvain (UCL). L’objectif de ce colloque était d’initier des réflexions académiques entre l’État et la religion, au gré de la diversification des croyances, du pluralisme, de l’immigration, de la sécularisation de la société, de la montée en puissance des droits de l’homme et de la lutte pour la protection d’une société démocratique. Ces rencontres avaient pour but d’explorer de façon comparative trois réalités différentes : celle de la France, de la Belgique et du Canada.
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