Campus
Étudiants au bord de la crise de nerfs!
Éric Lallier
2010-03-30 13:15:00
Éric Lallier, vice-président aux communications au sein de l’Association des étudiants en droit de l’UdeM, prend la parole pour dénoncer la grève des chargés de cours de son université.
Les futurs juristes qui ont choisi l’Université de Montréal sont actuellement aux prises avec d’intenses maux de tête.
En effet, une grève lancée par les chargés de cours il y a plus d’un mois paralyse une bonne partie des activités universitaires. Et le spectre de l’annulation pure et simple de la session plane maintenant au-dessus de la faculté.
C’est à tout le moins le remède que devrait prescrire la direction si le conflit de travail se poursuit au-delà du 5 avril prochain. Les douleurs, déjà vives, pourraient dès lors s’accentuer.
De fait, nul besoin de vous souligner à quel point les étudiants sont plongés dans une certaine inquiétude. Ou une inquiétude certaine, c’est selon. C’est également dans cet esprit que manœuvre notre association des étudiants en droit (AED), qui fait face à un barrage de questions au quotidien.
Depuis quelque temps, aux côtés de la Fédération étudiante universitaire du Québec (FAECUM), principal porte-parole des étudiants au sein de l’Université, l’AED mène de front certains moyens pour exercer une pression supplémentaire sur les deux parties impliquées dans ce dossier. Mais rien n’y fait. Et les rondes de négociations effectuées au fil des semaines ne semblent pas fournir de résultats convaincants.
La situation apporte aussi son lot de problèmes, au quotidien. À titre d’exemple, certains étudiants devaient quitter à la fin avril pour un programme en Chine. D’autres étaient attendus pour un travail d’été. Plus personne ne peut prédire ce qu’il adviendra de la session d’été. Et bien que le congé forcé ait permis aux candidats de mieux respirer au cours du marathon qu’est la course aux stages, les cabinets devront peut-être retarder l’arrivée de leurs nouvelles recrues.
Bref, tout un casse-tête. Pour tout le monde.
En ce sens, la ministre de l’Éducation Michèle Courchesne connaît maintenant nos préoccupations et une intervention de sa part pourrait certainement dénouer l’impasse.
Qui plus est, désormais, les lecteurs de droit-inc.com sont eux aussi avisés et, à l’instar de la population, comprennent, nous en sommes persuadés, à quel point les enjeux sont importants.
Souhaitons seulement que l’Université de Montréal et ses chargés de cours s’entendent enfin, question d’éviter que le pire ne survienne.
Pour plus d’infos sur la question, cliquez ici et là.
En effet, une grève lancée par les chargés de cours il y a plus d’un mois paralyse une bonne partie des activités universitaires. Et le spectre de l’annulation pure et simple de la session plane maintenant au-dessus de la faculté.
C’est à tout le moins le remède que devrait prescrire la direction si le conflit de travail se poursuit au-delà du 5 avril prochain. Les douleurs, déjà vives, pourraient dès lors s’accentuer.
De fait, nul besoin de vous souligner à quel point les étudiants sont plongés dans une certaine inquiétude. Ou une inquiétude certaine, c’est selon. C’est également dans cet esprit que manœuvre notre association des étudiants en droit (AED), qui fait face à un barrage de questions au quotidien.
Depuis quelque temps, aux côtés de la Fédération étudiante universitaire du Québec (FAECUM), principal porte-parole des étudiants au sein de l’Université, l’AED mène de front certains moyens pour exercer une pression supplémentaire sur les deux parties impliquées dans ce dossier. Mais rien n’y fait. Et les rondes de négociations effectuées au fil des semaines ne semblent pas fournir de résultats convaincants.
La situation apporte aussi son lot de problèmes, au quotidien. À titre d’exemple, certains étudiants devaient quitter à la fin avril pour un programme en Chine. D’autres étaient attendus pour un travail d’été. Plus personne ne peut prédire ce qu’il adviendra de la session d’été. Et bien que le congé forcé ait permis aux candidats de mieux respirer au cours du marathon qu’est la course aux stages, les cabinets devront peut-être retarder l’arrivée de leurs nouvelles recrues.
Bref, tout un casse-tête. Pour tout le monde.
En ce sens, la ministre de l’Éducation Michèle Courchesne connaît maintenant nos préoccupations et une intervention de sa part pourrait certainement dénouer l’impasse.
Qui plus est, désormais, les lecteurs de droit-inc.com sont eux aussi avisés et, à l’instar de la population, comprennent, nous en sommes persuadés, à quel point les enjeux sont importants.
Souhaitons seulement que l’Université de Montréal et ses chargés de cours s’entendent enfin, question d’éviter que le pire ne survienne.
Pour plus d’infos sur la question, cliquez ici et là.
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Anonyme
il y a 14 ansY'a pas plus feignant qu'un étudiant, alors par pitié évitez-nous le couplet, la grêve nous prive de nos cours.
En plus, vous savez qu'à la fin, on va vous supprimer les examens, vous surnoter et vous aurez passé un an de plus à ne rien foutre aux frais des contribuables.
Anonyme
il y a 14 ansMoi, je suis à l'UdeM et on n'est pas au bord de la crise de nerf, mais au bord de la crise de rire et bien heureux d'avoir moins de cours.
Let's admit it.
Anonyme
il y a 14 ansJ'avais même pas remarqué, j'vais jamais en cours.
Me
il y a 14 ans> J'avais même pas remarqué, j'vais jamais en cours.
Je ne vois pas quel serait le but, pour quelq'un qui ne suit pas les nouvelles et qui ne lit pas les courriels de l'université, de poursuivre des études universitaires.
Magnus
il y a 14 ansL'udem est une université toujours en grève ...
2003 - grève des employés de soutien
2004 - grève générale des étudiants
2005 - grève des profs
2010 - grève des chargés de cours
Et il doit m'en manquer
bruno
il y a 14 ans> Y'a pas plus feignant qu'un étudiant, alors par pitié évitez-nous le couplet, la grêve nous prive de nos cours.
> En plus, vous savez qu'à la fin, on va vous supprimer les examens, vous surnoter et vous aurez passé un an de plus à ne rien foutre aux frais des contribuables.
Bravo, bel exemple de bêtise!
Il y a actuellement des personnes qui se démènent en travaillant pour mettre du pain sur la table, qui ne profitent pas des prêts et bourses car considérés comme vivant encore chez leurs parents alors que ca fait bien longtemps que les parents ne peuvent même plus subvenir à leurs propres besoins. Ces étudiants avaient prévu sortir de l'université et mettre fin à 3 années de disette à la fin de cette année. En échange, ils se retrouvent dans l'incertitude la plus totale. Voici un exemple parmi tant d'autres qui devrait vous encourager vivement à la fermer avant de manquer encore d'empathie à ce point.
Anonyme
il y a 14 ansPrendre les etudiants comme otage est totalement IRRESPONSABlE
Me
il y a 14 ansAjouts:
2008 - grève des étudiants
2007 - grève des étudiants
Anonyme
il y a 14 ans> Ajouts:
>
> 2008 - grève des étudiants
> 2007 - grève des étudiants
Autre ajout:
1971 - grève des employés de soutien
65227
il y a 14 ansProfitez de ces belles années. Des difficultés beaucoup plus stressante surviendront une fois sur le marché du travail. De plus, le marché est saturé et il n'y a aucun emploi donc, relaxez à l'école et allez prendre une bonne sangria sur une terrasse, l'été est arrivé!