En prison pour avoir lancé son caca en plein tribunal!

L'équipe Droit-Inc
2009-10-28 10:30:00
Il avait notamment visé son avocat et les jurés.
Le juge Frank Brown a l’a condamné pour le cambriolage, ainsi que pour deux chefs d'inculpation concernant les excréments.
Selon ses avocats, l'homme souffre de troubles psychologiques. Ils avaient demandé le renvoi du procès pour vice de procédure car le suspect pensait que les jurés l'avaient vu menotté lorsqu'il est entré dans la salle d'audience.
Quelques jours après le rejet de sa demande, McGowan a sorti un sac rempli de matières fécales dissimulé sous ses vêtements, en a étalé sur son avocat avant de jeter le reste sur les jurés.
Me
il y a 15 ansJ'ai une question. Comment sait-on que c'est son caca?
N.M.B.
il y a 15 ansEst-ce qu'on peut passer à un autre sujet ?
Anonyme
il y a 15 ansÇa c'est ce qu'on appelle se faire emmerder par un client...
Anonyme
il y a 15 ans> J'ai une question. Comment sait-on que c'est son caca?
Good point!
Anonyme
il y a 15 ansJ'avais entendu dire qu'un prof de droit à l'UdeM avait, dans un passé plus ou moins lointain, lancé son CCQ à un juge.
Est-ce plus ou moind répréhensible ?
L'objet lancé par l'avocat serait objectivement moins déguelasse, mais le geste du "lancé" serait plus répréhensible s'il provenait d'un officier de justice.
Quel est votre verdict ?
Me
il y a 15 ansC'est deux recours différents... logique.
Si ça le touche, c'est des voies de fait armées + deux pleintes déontologique (une pour l'événement, la deuxième c'est celle qui suit la déclaration de culpabilité). Si ça ne le touche pas, c'est seulement une plainte en déonto avec des conséquences assez graves.
Me
il y a 15 ansPar définition une "légende urbaine" est un fait fictif au sujet duquel on est sûrs que c'est fictif. Lorsque vous avez simplement entendu parler d'un événement somme toute plausible et que vous ne savez pas si c'est fictif ou non, ce n'est pas une "légende urbaine".
K
il y a 15 ans> Who said anything about «légende urbaine»? Do you just dream up crap to correct people about to boost your ego?
Par définition une "légende urbaine" est un fait fictif au sujet duquel on est sûrs que c'est fictif. Lorsque vous avez simplement entendu parler d'un événement somme toute plausible et que vous ne savez pas si c'est fictif ou non, ce n'est pas une "légende urbaine".
JCVD
il y a 15 ansVous ne croyez pas qu'il y a la possibilité d'une accusation pour tentative de voies de fait armées si ça ne le touche pas ?
Entre un soulier et un code civil...
Par ailleurs, 31 ans de tôle pour avoir balancé des étrons amassés méticuleusement, c'est pas un peu sévère ?
... plaintes, pas pleintes... (usurpateur ?)
Me
il y a 15 ansLisez la nouvelle. Il n'a pas eu 31 ans pour ça.
JCVD
il y a 15 ansJ'ai lu la nouvelle. Seulement, il faut voler quoi, combiné à "lancer d'excréments" pour écoper de 31 ans?
Même s'il est possible qu'il en ait été à sa troisième offense, je n'arrive pas à m'imaginer l'endroit qu'il a pu cambrioler, ou ce qu'il a pu voler, pour se mériter ça.
G
il y a 15 ans> > J'ai une question. Comment sait-on que c'est son caca?
>
> Good point!
Good point? Who gives a shit? No pun intended.
Me
il y a 15 ansJe ne suis pas expert en pénal, mais est-ce que "tentatives de voies de fait armées" ça existe? Faudrait voir.
polaire
il y a 15 anshttp://news.findlaw.com/ap_stories/other/features/1120/10-26-2009/20091026220508_09.html
Me
il y a 15 ansC'était fort probablement ses excréments au sens du droit de la propriété ou à tout le moins il en était l'usufruitier ou bénéficiaire d'un autre démembrement du droit de propriété, mais ce n'est pas claire s'il était aussi celui qui a fabriqué les excréments en question. Dans l'éventualité ou cela ne serait pas le cas, comment a-t-il pu les acquérir? S'agissait-il de biens abandonnés? Leur propriétaire initial était il au courant de l'aliénation? Si l'on fait ce que l'on a à faire dans une toilette publique, à partir de quel moment cela devient-il un bien abandonné? Est-ce à partir de l'événement-même? À partir du moment ou l'on tire la chasse? Quant à ceux qui omettent de la tirer, à partir de quel moment ils perdent leur droit de propriété? Est-ce à partir du moment ou ils quittent le cubicule? À partir du moment ou ils quittent les toilettes? Le building? Toutes des questions intéressantes. Il serait bien d'en débattre. Est-ce que les modalités civilistes de la propriété peuvent avoir une influence en droit criminel canadien? Si la cause avait eu lieu au Québec, aurait-il pu y avoir des différences dans le traitement pénal de ce cas selon que les biens avec lesquels l'infraction a été commise étaient sa propriété ou celle d'un autre?
Anonyme
il y a 15 ansTu dis n'importe quoi !
> C'était fort probablement ses excréments au sens du droit de la propriété ou à tout le moins il en était l'usufruitier ou bénéficiaire d'un autre démembrement du droit de propriété, mais ce n'est pas claire s'il était aussi celui qui a fabriqué les excréments en question. Dans l'éventualité ou cela ne serait pas le cas, comment a-t-il pu les acquérir? S'agissait-il de biens abandonnés? Leur propriétaire initial était il au courant de l'aliénation? Si l'on fait ce que l'on a à faire dans une toilette publique, à partir de quel moment cela devient-il un bien abandonné? Est-ce à partir de l'événement-même? À partir du moment ou l'on tire la chasse? Quant à ceux qui omettent de la tirer, à partir de quel moment ils perdent leur droit de propriété? Est-ce à partir du moment ou ils quittent le cubicule? À partir du moment ou ils quittent les toilettes? Le building? Toutes des questions intéressantes. Il serait bien d'en débattre. Est-ce que les modalités civilistes de la propriété peuvent avoir une influence en droit criminel canadien? Si la cause avait eu lieu au Québec, aurait-il pu y avoir des différences dans le traitement pénal de ce cas selon que les biens avec lesquels l'infraction a été commise étaient sa propriété ou celle d'un autre?
K
il y a 15 ans> Complete and utter nonsense.
C'était fort probablement ses excréments au sens du droit de la propriété ou à tout le moins il en était l'usufruitier ou bénéficiaire d'un autre démembrement du droit de propriété, mais ce n'est pas claire s'il était aussi celui qui a fabriqué les excréments en question. Dans l'éventualité ou cela ne serait pas le cas, comment a-t-il pu les acquérir? S'agissait-il de biens abandonnés? Leur propriétaire initial était il au courant de l'aliénation? Si l'on fait ce que l'on a à faire dans une toilette publique, à partir de quel moment cela devient-il un bien abandonné? Est-ce à partir de l'événement-même? À partir du moment ou l'on tire la chasse? Quant à ceux qui omettent de la tirer, à partir de quel moment ils perdent leur droit de propriété? Est-ce à partir du moment ou ils quittent le cubicule? À partir du moment ou ils quittent les toilettes? Le building? Toutes des questions intéressantes. Il serait bien d'en débattre. Est-ce que les modalités civilistes de la propriété peuvent avoir une influence en droit criminel canadien? Si la cause avait eu lieu au Québec, aurait-il pu y avoir des différences dans le traitement pénal de ce cas selon que les biens avec lesquels l'infraction a été commise étaient sa propriété ou celle d'un autre?
Me
il y a 15 ans>>>> > Who said anything about «légende urbaine»? Do you just dream up crap to correct people about to boost your ego?
I was replying to a message whose title was "legende urbaine" Learn to read, shoe guy.