Nouvelles insolites!

À deux ans elle se retrouve seule face à la justice américaine

Voilà une situation ubuesque à laquelle a été confrontée Fernanda Jacqueline Dávila, migrante hondurienne âgée de deux ans et qui a dû comparaître face à un tribunal américain, rapporte le New York Times.

Entrée illégalement aux États-Unis avec sa grand-mère, elle a ensuite été séparée de celle-ci avant d’être placée dans un centre de détention pour enfants migrants.

Face à la cour, elle est déjà la 26e enfant à passer en cet après-midi. Sans sa famille, la seule personne dans la pièce qu’elle a rencontrée avant ce jour est un assistant social. Le jugement rendu, elle est condamnée à l’expulsion. Une décision espérée par sa famille puisque les grands-parents de la fillette l’attendent au Honduras.

Un ancien joueur de NFL veut breveter ses cheveux et son visage

Après avoir été le visage de la dernière campagne publicitaire de Nike, Colin Kaepernick fait de nouveau parler de lui. En effet, l’ancien quaterback de l’équipe de football américain des San Francisco 49ers a déposé une demande au Bureau américain des brevets et marques pour clamer les droits de marque d’une photo noir et blanc de ses cheveux et de son visage, indique ESPN.

Cela concerne plus de 17 types de produits, allant du shampoing à la laque en passant par l’abat-jour et des bijoux. Cela permet donc à l’athlète de garder le contrôle de son image dans le cas où il ne souhaiterait plus collaborer avec une marque, celle-ci ne pourrait pas utiliser cette image sans son consentement. Un détail qui pourrait constituer une avancée potentiellement importante pour les sportifs professionnels.

En plus d’avoir déposé ces droits de marque pour une large gamme de produits, il est aussi à noter que l’ancien joueur des 49ers indique dans sa demande qu’il compte utiliser cette image pour promouvoir des ateliers liés à ses convictions politiques.

Un professeur de l’Université Concordia piégé par sa générosité

En invitant une ancienne amie à la rue à venir habiter chez lui pour l’aider, M. Campbell ne s’attendait certainement pas à devoir passer devant les tribunaux pour l’obliger à partir. C’est en quelque sorte sa générosité qui l’a trahi, rapporte le Journal de Montréal, puisque n’ayant pas fait signer de bail à cette personne, la police comme la régie du logement n’ont pas été en capacité d’intervenir.

Apparemment atteinte de syllogomanie, une pathologie qui pousse à l’accumulation compulsive d’objets, Mme Finkelstein a fini par rendre impossible la vie du professeur. Celle-ci a creusé une piscine dans le jardin pour boire sa bière.

Ces nombreuses tentatives d’évincer cette colocataire encombrante ont coûté au total près de 10 000 dollars à M. Campbell avant que la Cour supérieure du Québec n’oblige Mme Finkelsteain à quitter les lieux.