Opinions
Petite question d’un ex de Bell
Rene Lewandowski
2008-11-26 11:19:00
Un avocat licencié par Bell Canada dans le cadre d’une vaste « restructuration » se pose une question ce matin à la suite de la nouvelle que la privatisation de l’entreprise pourrait avorter.
Rappelons-le, dans un communiqué publié un peu plus tôt, BCE affirme que la firme KPMG « ne prévoit pas être en mesure d'émettre une opinion selon laquelle BCE satisferait aux tests de solvabilité définis dans l'entente définitive » au moment de la prise d'effet de la transformation de BCE en société fermée, le 11 décembre.
Or, cette solvabilité est une condition de clôture de la transaction, évaluée à 52 milliards de dollars. BCE explique qu'elle continue de travailler avec KPMG et les acheteurs pour tenter de satisfaire à toutes les conditions de clôture, mais admet que « si KPMG n'est pas en mesure d'émettre une opinion favorable le 11 décembre 2008, toutefois, il est peu probable que la transaction soit effectuée ».
Aie!
En juillet dernier, dans la foulée du plan de restructuration annoncé par la nouvelle direction de Bell Canada, une douzaine d’avocats du contentieux de l’entreprise avaient perdu leur emploi.
La question de l’ex de Bell est la suivante : si la transaction n’a pas lieu comme prévu et que donc la restructuration devient caduque, Bell devrait-elle réembaucher tous ces avocats?
Car, selon l’avocat, le motif de licenciement n’existe plus.
A-t-il un point ou non?
Or, cette solvabilité est une condition de clôture de la transaction, évaluée à 52 milliards de dollars. BCE explique qu'elle continue de travailler avec KPMG et les acheteurs pour tenter de satisfaire à toutes les conditions de clôture, mais admet que « si KPMG n'est pas en mesure d'émettre une opinion favorable le 11 décembre 2008, toutefois, il est peu probable que la transaction soit effectuée ».
Aie!
En juillet dernier, dans la foulée du plan de restructuration annoncé par la nouvelle direction de Bell Canada, une douzaine d’avocats du contentieux de l’entreprise avaient perdu leur emploi.
La question de l’ex de Bell est la suivante : si la transaction n’a pas lieu comme prévu et que donc la restructuration devient caduque, Bell devrait-elle réembaucher tous ces avocats?
Car, selon l’avocat, le motif de licenciement n’existe plus.
A-t-il un point ou non?
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Anonyme
il y a 16 anscomment se fait-il que la question de la solvabilité de BCE n'ait pas été prise en compte plus tôt ? N'est ce pas la une des conditions sine qua non de l'approbation d'un plan d'arrangement par le tribunal ? comment se fait-il que le plan d'arrangement a été approuvé par la CSC si cette condition n'était pas encore validée
(s) un profane
Anonyme
il y a 16 ansEt les avocats en corpo et en financement, il n'ont pas vu venir le coup. C'est quasiment incroyable ce truc, j'en reviens pas.
Anonyme
il y a 16 ansje doute que ce soit aux avocats en corpo et en financement de constater ce genre de chose. Si on fait affaire avec un firme comptable pour établir la solvabilité de la compagnie et que même cette dernière éprouve des difficultés à établir avec certitude la solvabilité de la société, c'est qu'il y quelque chose qu'il est pas nécessairement facile à établir. donc non, les avocats en corpo ne l'ont pas nécessairement vu venir, je crois que c'est relativement normal...
> Et les avocats en corpo et en financement, il n'ont pas vu venir le coup. C'est quasiment incroyable ce truc, j'en reviens pas.
Anonyme
il y a 16 ans> Et les avocats en corpo et en financement, il n'ont pas vu venir le coup. C'est quasiment incroyable ce truc, j'en reviens pas.
Quand je disais que chez Stike on ne fait qu'accessoirement du droit... :-)
Anonyme
il y a 16 ansPoser la question a la supposer DREAM TEAM BCE hahaha
Pierre Bienvenu de OR et les 10 000 avocats de chez Davies Ward qui ont gagner en CSC... sa a servi a quoi si BCE n'est meme pas solvable ?!?
Anonyme
il y a 16 ans> Poser la question a la supposer DREAM TEAM BCE hahaha
> Pierre Bienvenu de OR et les 10 000 avocats de chez Davies Ward qui ont gagner en CSC... sa a servi a quoi si BCE n'est meme pas solvable ?!?
C'est quand bien pour OR et DWPV si les avocats de Stikeman sont trop incompétents pour avoir prévu dans leurs contrats qu'un liitge jusqu,en CSC peut survenir :)
Anonyme
il y a 16 ans> Poser la question a la supposer DREAM TEAM BCE hahaha
> Pierre Bienvenu de OR et les 10 000 avocats de chez Davies Ward qui ont gagner en CSC... sa a servi a quoi si BCE n'est meme pas solvable ?!?
Ça a servi à quoi que la CSC se prostitue en acceptant de procédér comme une urgence, en vitesse accelerée ?
Anonyme
il y a 16 ansStikeman fait du droit.
Le problème actuel en est un de finances.
Anonyme
il y a 16 ans> Stikeman fait du droit.
>
> Le problème actuel en est un de finances.
C'est un problème politique plutôt. Le cash existe, mais il provient du bailout américain pour Citi et du bailout britanique pour RBS. Ça joue mal en première page ça.