Être parajuriste : les meilleurs moments
Theodora Navarro
2016-07-28 14:15:00
Pour preuve, des professionnels vous font la liste de leurs meilleurs moments. Et vous, c’était quoi votre meilleure anecdote comme technicienne juridique ?
- Être présente au rendez-vous final avec un client auprès d’un avocat avec lequel j’ai travaillé pendant deux ans et qui m’a toujours parlé d’égal à égal, me demandant même régulièrement mon opinion ou des conseils.
- Travailler en équipe avec les autres parajuristes et avoir beaucoup de contact avec les clients, en ayant vraiment l’impression de travailler pour eux, pour qu’ils obtiennent justice et réparation.
- Faire la rédaction d’un dossier de preuves grâce auquel nous avons brillamment gagné l’affaire.
- La première fois que j’ai dû rencontrer l’autre partie seule… rencontre qui a résulté en un abandon des poursuites de la part du plaignant!
- Aller au Nigeria et mener plusieurs entrevues là-bas avec des clients dans le cadre d’une affaire incroyable!
- Mettre la main sur un client potentiel
- Gérer une équipe de parajuristes débutants pendant six mois, travail dont l’efficacité a été reconnu ensuite par la firme, qui a compris l’importance du travail des parajuristes dans le cabinet.
- Mener une négociation.
- Travailler sur un dossier de fusions et acquisitions, travail qui m’a changé des photocopies que je fais d’habitude!
- Voir mon travail et ma collaboration reconnus dans le dossier d’un client.
- Mener ma propre affaire avec l’assistance d’un associé qui m’a toujours fait confiance et a su me pousser a toujours prendre davantage de responsabilités.
- Permettre à un parent de retrouver son enfant dont il avait perdu la garde.
- Prendre conscience du fonctionnement des fusions et acquisitions, et comprendre comment fonctionnent les grandes transactions.
- Travailler sur un important pro bono.
- Travailler sur l’une des grosses affaires financières qui font la une des médias.
- Pouvoir voyager pour le travail, notamment en Russie.
- Être récompensée d’une bouteille de vin offerte par la firme pour les 140 heures de travail réalisées sur un dossier, travail qui parfois relevait du niveau de compétence légale d’un avocat d’expérience.
- M’entendre dire, par l’avocat avec lequel je travaille le plus, que vu mon niveau de compétences je pourrais facilement prendre sa place.
- Prendre conscience de la confiance que les clients et les avocats me témoignent.
femme pas contente
il y a 8 ansWow c'est le fun de lire toute c'est commentaires positives! mais ce n'était pas DU TOUT mon expérience...j'ai eu que des moments négatives et agressant durant mes 10 ans étant parajuriste. Je travaillais comme une folle et donnais tout mon temps disponible au cabinet et même la je n'était jamais reconnu pour mon travail ou même mon dévouement.
J'espère que c'est un signe que les choses changes pour le mieux!