Une professeure de l’UQAM, première lauréate du Prix Charles-Coderre
L'équipe Droit-inc
2008-12-17 13:15:00
La Fondation Charles-Coderre a été créée il y a une trentaine d'années en hommage à Maître Charles Coderre, premier avocat à exercer sa profession au sein des services sociaux à Montréal.
Vouée au développement du droit social de l'enfance et de la famille, la Fondation organise régulièrement des activités destinées à entretenir un dialogue entre intervenants sociaux et judiciaires sur des problématiques touchant les jeunes et leurs familles.
Anonyme
il y a 15 ansFélicitations professeure! Cependant, j'ai une petite question qui n'a rien à voir avec vos compétences: pourquoi l'UQAM appelle-t-elle son département de droit un département de SCIENCES juridiques? L'étude du droit n'est pas une science, mais plutôt l'étude d'une vérité révélée. En fac de droit on étudie les normes et les règles promulguées par l'État et ses différentes institutions. Vrai, la théorie du droit s'apparente à une science mais il s'agit plutôt d'un cumul de différentes disciplines scientifiques (philo, économie, histoire, anthropologie, sociologie). N'êtes-vous pas d'accord?
Anonyme
il y a 15 ans> Félicitations professeure! Cependant, j'ai une petite question qui n'a rien à voir avec vos compétences: pourquoi l'UQAM appelle-t-elle son département de droit un département de SCIENCES juridiques? L'étude du droit n'est pas une science, mais plutôt l'étude d'une vérité révélée. En fac de droit on étudie les normes et les règles promulguées par l'État et ses différentes institutions. Vrai, la théorie du droit s'apparente à une science mais il s'agit plutôt d'un cumul de différentes disciplines scientifiques (philo, économie, histoire, anthropologie, sociologie). N'êtes-vous pas d'accord?
Anonyme
il y a 15 ansMe semblait bien, aussi qu'il y aurait quelqu'un pour trouver quelque chose à redire du fait que professeure Joyal provenait de l'UQAM. Mais là, parce qu'on n'a rien à dire, on s'en prend au nom du programme universitaire. C'est vrai que quand on n'a rien à dire, on peut bien écrire n'importe quoi... > > Félicitations professeure! Cependant, j'ai une petite question qui n'a rien à voir avec vos compétences: pourquoi l'UQAM appelle-t-elle son département de droit un département de SCIENCES juridiques? L'étude du droit n'est pas une science, mais plutôt l'étude d'une vérité révélée. En fac de droit on étudie les normes et les règles promulguées par l'État et ses différentes institutions. Vrai, la théorie du droit s'apparente à une science mais il s'agit plutôt d'un cumul de différentes disciplines scientifiques (philo, économie, histoire, anthropologie, sociologie). N'êtes-vous pas d'accord?
Anonyme
il y a 15 ans> Me semblait bien, aussi qu'il y aurait quelqu'un pour trouver quelque chose à redire du fait que professeure Joyal provenait de l'UQAM. Mais là, parce qu'on n'a rien à dire, on s'en prend au nom du programme universitaire. C'est vrai que quand on n'a rien à dire, on peut bien écrire n'importe quoi... >
Ça ne sert à rien d'être paranoïaque. Je n'enlève rien à l'UQAM, au contraire, je pense que c'est une excellente université et que son programme de droit a beaucoup de mérite. Je posais seulement une question, et je suis persuadé que c'est volontairement qu'on a appelé le département "département des sciences juridiques" et non "département juridique", et manifestement vous ne connaissez pas la réponse à ma question.
Anonyme
il y a 15 ans> Ça ne sert à rien d'être paranoïaque. Je n'enlève rien à l'UQAM, au contraire, je pense que c'est une excellente université et que son programme de droit a beaucoup de mérite. Je posais seulement une question, et je suis persuadé que c'est volontairement qu'on a appelé le département "département des sciences juridiques" et non "département juridique", et manifestement vous ne connaissez pas la réponse à ma question.
Une étude de l'épistémologie juridique et de l'histoire de l'évolution du droit pourrait vous faire du bien. Au lieu de dire des âneries sur la « vérité révélée ». Sans répondre à votre question, je préciserai seulement que si l'UQÀM avait appelé son département de droit/sciences juridiques un « département juridique », elle se serait fourvoyé linguistiquement parlant. Comment un département universitaire peut-il être juridique? Consultez votre Bob et nous en reparlerons.
Anonyme
il y a 15 ansVoici pourquoi :
Le développement de l’approche scientifique de ces champs de droit s’effectuera par l’étude de leur évolution historique, leur mise en contexte interne et international, et par l’apprentissage des méthodes des sciences sociales et leur application au droit. La perspective critique sera étayée par l’étude des relations entre les normes juridiques de ces champs et les conceptions philosophiques et politiques qui les supportent. Les objectifs pédagogiques sont d’offrir un régime d’étude permettant une conciliation de la démarche personnelle de l’étudiant (formation et orientation professionnelles) avec les objectifs et le contenu du programme, l’acquisition d’outils essentiels à une démarche scientifique et critique et leur application aux habiletés professionnelles du juriste et enfin une sensibilisation à la diffusion nécessaire des connaissances scientifiques et à leur vulgarisation.
(S) Un diplômé en droit de l'UQAM
Anonyme
il y a 15 ansPour vraiment avoir un impact social positif, il faudrait fermer le département de science juridique de UQAM.
Voici pourquoi :
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> Le développement de l’approche scientifique de ces champs de droit s’effectuera par l’étude de leur évolution historique, leur mise en contexte interne et international, et par l’apprentissage des méthodes des sciences sociales et leur application au droit. La perspective critique sera étayée par l’étude des relations entre les normes juridiques de ces champs et les conceptions philosophiques et politiques qui les supportent. Les objectifs pédagogiques sont d’offrir un régime d’étude permettant une conciliation de la démarche personnelle de l’étudiant (formation et orientation professionnelles) avec les objectifs et le contenu du programme, l’acquisition d’outils essentiels à une démarche scientifique et critique et leur application aux habiletés professionnelles du juriste et enfin une sensibilisation à la diffusion nécessaire des connaissances scientifiques et à leur vulgarisation.
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> (S) Un diplômé en droit de l'UQAM