Grosse prise pour Langlois!

L’associé Gilles Rancourt quitte Norton Rose Fulbright après plus de 11 années pour rejoindre Langlois. Il concentre sa pratique en droit du travail et de l’emploi.

Me Rancourt bénéficie de 24 ans d’expérience et d’une expertise de pointe dans son domaine, notamment en ce qui concerne la négociation de conventions collectives très complexes ou atypiques.

Gilles Rancourt conseille et représente des employeurs des secteurs public et privé pour des questions relatives au droit du travail et de l’emploi, comme les normes du travail, les droits et libertés de la personne, les contrats de travail individuels et les relations de travail.

Il a signé plusieurs articles et il est fréquemment sollicité pour donner des conférences sur divers sujets touchant le droit du travail et la gestion des ressources humaines.

Il enseigne également depuis plusieurs années la négociation collective à l’École du Barreau du Québec et a agi à titre de collaborateur spécial dans le cadre de la rédaction de l’ouvrage intitulé « Comment gérer un employé difficile », publié aux Éditions Transcontinental.

Avant de rejoindre Langlois et Norton Rose, il a travaillé comme associé chez Heenan Blaikie et comme avocat chez McCarthy Tétrault et chez Dancosse Brisebois.

Le Barreau 2000 détient un baccalauréat en relations industrielles et un baccalauréat en droit de l’Université Laval.

Vous quittez Norton Rose après plus de 11 ans. Qu’est-ce qui vous a attiré chez Langlois?

J’ai choisi Langlois pour l’importance que le groupe de droit du travail et de l’emploi occupe au sein du cabinet. La proximité de Langlois du marché québécois permet d’offrir des services juridiques ad rem aux besoins spécifiques de la clientèle. La flexibilité qu’offre la structure du cabinet permet aussi une adaptation rapide et efficace, ce qui est très important en matière de droit du travail et de l’emploi, un domaine qui évolue constamment.

Ce changement de cabinet, c’était pour essayer quelque chose de nouveau?

Mon désir d’évoluer dans un environnement ouvrant de multiples possibilités de croissance, tant pour mes clients que pour moi-même et les jeunes avocats que j’encadre, a motivé mon choix.

Qu’est-ce qui pousse un avocat à prendre ce genre de décision?

C’est d’abord une décision que j’ai prise pour mes clients. Je désirais m’assurer d’avoir la capacité de leur offrir des services juridiques adaptés à leurs besoins, et pour longtemps. L’importance de la pratique du droit du travail et de l’emploi au sein du cabinet et les objectifs de croissance de celle-ci sont des éléments qui ont été déterminants dans ma prise de décision.

Lorsque vous étiez chez Norton Rose, connaissiez-vous déjà des personnes de chez Langlois? Étiez-vous au courant de leur réputation?

Bien sûr. D’abord, la réputation de Langlois n’est plus à faire. Cette réputation a été acquise par le travail des avocates et avocats du cabinet, qui est reconnu dans le milieu juridique et auprès de la clientèle. De plus, je retrouve aussi dans le groupe de droit du travail et de l’emploi d’anciens collègues avec qui j’ai beaucoup apprécié de travailler.

Quelles sont vos nouvelles responsabilités chez Langlois?

Je me joins à une équipe qui est en plein essor. J’ai la chance de compter sur une clientèle fidèle qui a accepté de faire ce changement avec moi. Je continuerai donc de servir ma clientèle et celle de Langlois. Je compte aussi continuer de travailler étroitement avec la relève en partageant mes expériences professionnelles et contribuer ainsi à sa formation. Je souhaite aussi continuer à développer la clientèle afin de permettre notamment aux plus jeunes avocats de mettre en valeur leur expertise dans le feu de l’action.