Une autre avocate chez Cohn & Wolfe
L'équipe Droit-Inc
2009-10-28 11:15:00
Elle mettra à profit son expertise pour conseiller les clients de Cohn & Wolfe sur les enjeux de communication liés à la croissance dans un contexte de compétition internationale.
Diplômée en droit de l’Université de Montréal et membre du Barreau du Québec depuis 5 ans, Maître Demers vient également de compléter le programme de MBA intensif de l’École des hautes études commerciales de Montréal.
Férue de relations internationales, elle a de plus effectué des séjours d’étude à la Foreign Trade University de Hanoi, à l’Institute of International Economic Law de la Georgetown University, à Washington, ainsi qu’à la China University of Political Science and Law, à Beijing.
Avant de joindre les rangs de Cohn & Wolfe |Montréal, Marie-Christine a pratiqué en litige civil et commercial chez McMillan LLP et chez McCarthy Tétrault LLP.
Marie-Christine Demers a siégé sur certains conseils d’administration. Entre autres, elle été secrétaire du conseil et vice-présidente aux affaires publiques de l’Association du Jeune Barreau de Montréal, de même que trésorière de l’Association québécoise des jeunes parlementaires inc. Elle siège présentement au Conseil du Barreau de Montréal à titre de représentante de l’Association du Jeune Barreau de Montréal.
Anonyme
il y a 15 ansUn autre exemple d’une personne incapable d’appliquer ses connaissances universitaires au marché d’emploi juridique.
Cohn & Wolf est un cimetière pour les carrières juridiques mortes.
Anonyme
il y a 15 ansBravo Marie-Christine! Quelle belle opportunité. Enfin, tous tes talents et ton expérience pourront être mis à contribution. Bonne chance
Me
il y a 15 ansLe droit international tout comme les relations internationales c'est tellement le bout de la m., tous deux garants d'un avenir sans job. Heureusement que cette candidate avait une tonne d'autres points forts sur son c.v. et qu'elle n'a pas mis tous ses oeufs dans le même panier, bien qu'elle semble avoir consacré trop de temps pour ces inutilités. Elle semble être, globalement, phénoménale comme avocate.
Anonyme
il y a 15 ansJ'ai travaillé avec elle; elle est phénoménale, comme avocate et comme personne. Bravo Marie-Christine.
Un Dé-togé
il y a 15 ansOn retrouve plusieurs commentaires sur Droit-inc. qui sont, pour rester polie, durs envers ceux qui quittent la pratique privée. Comme si un diplômé en droit devait impérativement passer sa vie en pratique privée et de surcroit, pour que sa carrière soit une réussite dans l'un des cabinets du top 15 Montréalais, et encore de préférence dans un cabinet national.
C'est drôle, j'ai rencontré plusieurs diplômés en droit à HEC Montréal, tant au MBA qu'à la M.Sc. et même au BAA.
Il n'y a pas que la pratique privée. On devrait se réjouir que certains choisissent d'autres cheminements.
Lorsqu'un comptable (C.A.) quitte un cabinet après quelques années en vérification pour aller travailler en entreprise privée, est-ce un signe que sa carrière décline.
Si un avocat décide de changer de cheminement de carrière pour des motifs personnels ou relever de nouveaux défits (j'en vois déjà venir avec l'histoire de la langue de contreplaquée), on devrait l'en féliciter. Parce que des défits il y en a ailleurs qu'en pratique privée.
Et en plus, ça fait un concurrent de moins sur le marché.
Pour terminer, je félicite Me Demers et lui souhaite une carrière fleurisante.
Anonyme
il y a 15 ansReprendre ses études à 30 ans pour acquérir de nouvelles compétences et faire le choix de donner une nouvelle dimension à sa carrière, c'est faire preuve de courage et d'humilité.
Réussir dans un nouveau métier est un défi qu'il faut savoir accepter de relever et je félicite Marie Christine pour sa détermination ! Je suis sûre qu'elle réussira brillamment dans ses nouvelles fonctions.
Et puis, n'oublions pas qu'être avocat ne doit pas être un sacerdoce...