Si elle confirme que Claude Robinson a bel et bien vu son œuvre « Robinson Curiosité » être plagiée par Cinar en 1995, la Cour d’appel réduit considérablement les indemnités que lui avait accordées la Cour supérieure en 2009.
Me Langlois défendait Ronald WeinbergDans un jugement de 67 pages rendu ce matin, le plus haut tribunal du Québec ordonne à Cinar, ses ex-dirigeants Ronald Weinberg et feue Micheline Charest, de même qu’à la compagnie France Animation et au producteur français Christophe Izard, de rembourser à M. Robinson une somme totalisant un peu plus de 2,7 millions $.
C’est toutefois bien moins que les 5,2 millions $ que le juge Claude Auclair lui avait accordés en première instance, le 26 août 2009. En fait, on peut dire que les indemnités ont pratiquement été réduites de moitié.
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La Cour d’appel réduit considérablement les indemnités qu'avait accordées la Cour supérieure à Claude Robinson. Êtes vous déçu? Votez ici
Me Martel représentait Claude RobinsonFasken Martineau et l'équipe composée de Mes Pierre Y. Lefebvre, Alain Y. Dussault, Silviu Bursanescu ont représenté la société France Animation et Christophe Izard. Mes William Brock et Christine Aubé-Gagnon de Davies ont défendu les intérêts de Cinar Corporation.
Ronald A. Weinberg, en qualité d'unique liquidateur de la succession de Micheline Charest était représenté par Mes Raynold Langlois, Patrick Dallaire, Dimitrios Maniatis de LKD tandis que Gowlings et son équipe composée de Florence Lucas, Francine Martel et Laurence Bourgeois-Hatto défendaient Claude Robinson et les Productions Nilem inc.
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