Campus
Bénévole aux journées-carrières de l’UQAM
Julie Klironomos
2010-02-08 11:15:00
Cette année, Julie Klironomos, étudiante en droit à l’UQAM, a voulu participer comme bénévole aux journées carrières de son université. Un bon moyen, selon elle, de nouer des contacts avec les cabinets d’avocats. Elle raconte son expérience.
Dès que j’ai appris que la faculté recherchait des volontaires pour encadrer les journées carrières les 14 et 15 janvier dernier, je me suis inscrite. J’allais donner mon temps pour faire ce que j’appelle du bénévolat luxueux. Alliant l’utile à l’agréable, j’accueillerais les cabinets, tout en en profitant pour me renseigner sur les bureaux représentés et pour rencontrer les avocats.
Aussi, je ne manque pas une occasion de m’habiller en tenue de ville ! J’aime bien le sentiment professionnel qu’accompagne cette tenue. Et si l’habit faisait le moine ?
Mauvaise pioche, le premier jour, puisque j’ai été assignée au vestiaire. La seconde journée m’a en revanche été plus profitable…mon rôle étant de m’assurer du confort des exposants, en leur proposant café ou autres breuvages.
Cette journée là, j’ai fait ma pré-course aux stages, alternant ma casquette de bénévole avec celle d’étudiante. Ainsi, une fois mes tâches de bénévole accomplies, je partais faire le tour des stands (31 au total sur les deux jours) comme étudiante pour me présenter aux avocats et glaner des informations sur leurs bureaux.
A ce stade de mes études, je n’ai pas le nombre de crédits minimum requis pour faire la course aux stages, donc je ne me suis pas présentée en tant que participante, mais plutôt comme étudiante faisant du « magasinage ». Mon idée était de me familiariser avec les cabinets que je connaissais moins, comme Blakes. Je voulais aussi poser mes questions à ceux qui m’intéressaient, entre autres Lavery et Heenan Blaikie.
A la fin des deux jours, je crois avoir réussi mon pari. J’ai trouvé une bonne occasion de faire du « networking », en rencontrant des avocats et en établissant des liens avec eux. Je pars donc mieux préparée pour participer à la course l’année prochaine.
Ce que j’ai particulièrement apprécié, c’est aussi la possibilité d’échanger avec les avocats en dehors d’un cadre formel. Pour vous donner une idée, lors de l’arrivée des professionnels à l’UQAM, les bénévoles partagent un buffet avec les professionnels. C’est l’occasion, pour nous étudiants, de parler de nos cheminements professionnels et de poser des questions aux avocats qu’on pourrait difficilement aborder en entrevue « officielle ».
On aime aussi les retardataires, ces avocats qui s’attardent un peu avec nous une fois la journée terminée. Je pense en particulier à deux avocats de Davies qui sont restés assez longtemps après la fin de l’évènement, juste à jaser avec nous. Ils se sont démarqués, étant très gentils et sociables. Eux nous ont fait partager leur expérience dans un contexte détendu et permis d’imaginer ce que sera notre vie professionnelle futur. Ces partages d’expériences sont pour nous inestimables.
Aussi, je ne manque pas une occasion de m’habiller en tenue de ville ! J’aime bien le sentiment professionnel qu’accompagne cette tenue. Et si l’habit faisait le moine ?
Mauvaise pioche, le premier jour, puisque j’ai été assignée au vestiaire. La seconde journée m’a en revanche été plus profitable…mon rôle étant de m’assurer du confort des exposants, en leur proposant café ou autres breuvages.
Cette journée là, j’ai fait ma pré-course aux stages, alternant ma casquette de bénévole avec celle d’étudiante. Ainsi, une fois mes tâches de bénévole accomplies, je partais faire le tour des stands (31 au total sur les deux jours) comme étudiante pour me présenter aux avocats et glaner des informations sur leurs bureaux.
A ce stade de mes études, je n’ai pas le nombre de crédits minimum requis pour faire la course aux stages, donc je ne me suis pas présentée en tant que participante, mais plutôt comme étudiante faisant du « magasinage ». Mon idée était de me familiariser avec les cabinets que je connaissais moins, comme Blakes. Je voulais aussi poser mes questions à ceux qui m’intéressaient, entre autres Lavery et Heenan Blaikie.
A la fin des deux jours, je crois avoir réussi mon pari. J’ai trouvé une bonne occasion de faire du « networking », en rencontrant des avocats et en établissant des liens avec eux. Je pars donc mieux préparée pour participer à la course l’année prochaine.
Ce que j’ai particulièrement apprécié, c’est aussi la possibilité d’échanger avec les avocats en dehors d’un cadre formel. Pour vous donner une idée, lors de l’arrivée des professionnels à l’UQAM, les bénévoles partagent un buffet avec les professionnels. C’est l’occasion, pour nous étudiants, de parler de nos cheminements professionnels et de poser des questions aux avocats qu’on pourrait difficilement aborder en entrevue « officielle ».
On aime aussi les retardataires, ces avocats qui s’attardent un peu avec nous une fois la journée terminée. Je pense en particulier à deux avocats de Davies qui sont restés assez longtemps après la fin de l’évènement, juste à jaser avec nous. Ils se sont démarqués, étant très gentils et sociables. Eux nous ont fait partager leur expérience dans un contexte détendu et permis d’imaginer ce que sera notre vie professionnelle futur. Ces partages d’expériences sont pour nous inestimables.
Profil étudiant
Julie Klironomos est étudiante en deuxième année de droit à l'UQAM. Julie fait partie de ces étudiantes hyperactives, qui dès qu'elles le peuvent mettent leur nom sur des listes ! Elle qui était déjà administratrice pour la clinique juridique de l'UQAM et volontaire aux journées carrières de sa faculté, est maintenant chroniqueuse pour Droit-inc. A coté du droit, cette étudiante trilingue, français-anglais-grec, a obtenu un baccalauréat en psychologie avec distinction à Concordia. Cette bonne compréhension des rapports entre les personnes devrait l'aider à se tracer un joli chemin en cabinet d'avocats.
Julie Klironomos est étudiante en deuxième année de droit à l'UQAM. Julie fait partie de ces étudiantes hyperactives, qui dès qu'elles le peuvent mettent leur nom sur des listes ! Elle qui était déjà administratrice pour la clinique juridique de l'UQAM et volontaire aux journées carrières de sa faculté, est maintenant chroniqueuse pour Droit-inc. A coté du droit, cette étudiante trilingue, français-anglais-grec, a obtenu un baccalauréat en psychologie avec distinction à Concordia. Cette bonne compréhension des rapports entre les personnes devrait l'aider à se tracer un joli chemin en cabinet d'avocats.
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