Elle veut rendre le monde du droit plus ouvert
Didier Bert
2021-04-21 12:00:00
En droit comme en génie, elle tire le même constat d’un manque de diversité. En particulier, elle observe les difficultés que doivent affronter les personnes autochtones, noires et de couleur de la communauté 2SLGBTQ+.
« Je suis très contente d’être en droit; je suis entourée de gens relativement attentifs à ces enjeux et désireux de changer les choses », indique-t-elle à la Gazette de l’Université d’Ottawa, en soulignant que la communauté 2SLGBTQ+ est plus représentée dans cette faculté que dans d’autres milieux.
Depuis son arrivée à la faculté de droit, celle qui se destine au droit de la construction n’a pas chômé. Elle a lancé un site web pour OUTLaw, l’association officielle des étudiantes et étudiants 2SLGBTQ+ en droit de l’Université d’Ottawa. Le site propose des ressources, dont un répertoire de professeurs alliés de cette cause.
Avec OUTLaw, Michelle Liu œuvre aussi à l’élaboration d’outils et à l’organisation d’événements destinés aux membres de la communauté 2SLGBTQ. Elle a fait adopter par le Syndicat étudiant de l’Université d’Ottawa une politique d’utilisation des pronoms destinée aux membres de la direction et du Comité de direction, afin de rendre les contenus numériques plus inclusifs, précise la Gazette.
En février, Michelle Liu a organisé une table ronde sur les identités intersectionnelles en droit, avec le Centre des carrières et du développement professionnel (CCDP) de la faculté de droit. Les sujets abordés visaient aussi bien la question des CV que le code vestimentaire dans les cabinets.
Les participants ont été invités à choisir soigneusement leur employeur, en vérifiant qu’il propose un environnement inclusif et sûr, où le talent des membres de la communauté 2SLGBTQ+ pourra s’exprimer.
Pirlouit
il y a 3 ansQuelles difficultés les indiens, noirs et les 2SLGBTQ+ (peu importe ce que ça veut dire) doivent-ils affronter pour accéder aux études en droit ?
Il y a une différence entre ne pas voir ces groupes à l'Université et tenir pour acquis qu'on leurs met des bâtons dans les roues pour qu'ils n'accèdent pas au droit ? Peut-être ces groupes sont justes moins intéressés aux études en droit?
Legal Counsel
il y a 3 ansThis is the state of the discourse today for these intersectional leftists. Any disparity in outcome or achievement between groups is automatically attributed to white supremacy, "whiteness" or the patriarchy. And in order to achieve the equality of outcome that these groups desire, they will push for major government tyranny to have the government pick winners and losers, or will lobby for lowering the standards for the groups in question (or both).
God forbid someone perhaps asks what it is about the individual choices members of these groups make, or their advantages, disadvantages, their culture, their nuclear family structure, etc, that perpetuates this disparity. Asking those questions involves having very uncomfortable discussions at a societal level. So instead, these leftists take the intellectually lazy and dishonest approach of blaming all of the issues they perceive in society on the "great evil" of the day. Today, in their minds, that "great evil" is white people and men, and especially white men. Not too long ago, Marxists used class issues as a wedge to try to destroy Western Civilization. Today, the Marxists use race and gender.
Robin des villes
il y a 3 ansJe vais vous expliquer une chose Pirlouit. Vous semblez sentir que les minorités se voient être injustement favorisées juste parce qu'elles sont des minorités, sans évaluation de leurs compétences, qu'elles se plaignent pour rien, etc. Et bien voyez vous, ça fait au moins deux millénaires (prenons l'avènement de J.C. comme point de départ théorique, mais ça remonte à bien avant) que toute l'humanité occidentale se sent ainsi par rapport aux hommes blancs hétérosexuels. Le monde occidental les a favorisé, a été façonné par eux, ce qui leur a permis de conserver le pouvoir et de perpétuer les inégalités. C'est un cercle vicieux systémique, mais je sais que ce mot est impopulaire chez l'homme blanc très moyen (que représente bien notre Legault national).
Alors que le vent tourne, l'homme blanc très moyen rue dans les brancards. Il se débat, parce qu'il perd du pouvoir tranquillement, à peine, dans différentes sphères de la société. Ça vous donnerait peut-être une leçon d'empathie de prendre cet inconfort que vous ressentez, de le multiplier par 2000 ans d'oppression et d'inégalités, et de vous demander si votre pleurnichage incessant est nécessaire. Parce qu'on s'en fout si c'est à votre tour de prendre votre trou pour un temps, on prend le nôtre depuis si longtemps.
Heureusement, plusieurs hommes blancs bien moins moyens que vous comprennent très bien tout ça, et sont heureux de faire de la place pour les autres!
Anonyme
il y a 3 ansIl semblerait que vous ayez besoin de lire ceci - Pirlouit aussi
https://www.theguardian.com/news/2021/apr/20/the-invention-of-whiteness-long-history-dangerous-idea?
Pirlouit
il y a 3 ansExactement ce que je pensais : vous ne voulez pas l'égalité. Vous voulez la vengeance. On a subi des torts ? Maintenant c'est à notre tour, vous allez tous payé. Ce discours est aussi navrant que contre-productif. Mais vous vous pensez du "bon côté de l'Histoire", comme Attaran, donc tout permis, même d'étaler des arguments sans fondements ou contradictoires.
Vos accusations de braillages sont amusantes puisque votre texte est un braillage complet contre les méchants hommes blancs, responsables selon vous de tous les maux de la Terre et d'aucun bienfait. Vous vous êtes vraiment bien fait laver le cerveau si vous pensez que toutes les autres ethnies étaient et sont parfaites et seuls les "blancs" sont les méchants. Voir le monde en blanc ou noir, c'est un peu limité comme analyse.
Anonyme
il y a 3 ansIl y a quelques années, dans une feuille de choux féministe trainant dans un cabinet de dentiste, j'avais lu un article écrit par une journaliste woke, au sujet de son expérience de mère.
Elle racontait avoir tenté, pendant des années, de faire jouer son fils avec des jeux genrés "fille", et de faire jouer sa fille avec des jeux genrés "gars", afin de rompre avec une éducation "cis hétéro-normative" (comme on dit en novlangue woke). Résutat: son fils revenait toujours aux camions, et sa fille revenait toujours aux poupées!
Aux moins elle avait eu le courrage d'écrire cet article, alors qu'aujourd'hui il est à craindre que ce genre de parent fasse shooter ses garçons avec des bloqueurs d'hormones pour leur faire entendre raison.
Dictateur du Québec
il y a 3 anspour les enfants. Mais vivement que le délire woke aille encore plus loin. Certains sont irrécupérables, mais la majorité des gens n'en est pas encore à s'excuser de prétendus privilèges et subir la ségrégation positive.